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Mis à jour: 30 avril 2025
Pendez une bouteille préparée pour l'expérience de Leyde au conducteur par son crochet, & chargez-la; après cela écartez la communication du fond de la bouteille, alors le conducteur donne des signes évidens de son électrisation, car si on attache autour de lui un fil & qu'on laisse des bouts longs d'environ deux pouces, ils s'étendront comme une paire de cornes; mais si vous touchez le conducteur il en sortira une étincelle & les fils tomberont, & le conducteur ne donne plus le moindre signe d'électrisation après cela. Je pense qu'en le touchant j'ai enlevé toute la charge de matière électrique qui étoit dans le conducteur, le crochet de la bouteille & l'eau ou les fils de fer qui y sont contenus: nous voyons que tous les corps non-électriques peuvent en recevoir autant, cependant le verre de la bouteille conserve sa capacité de donner un coup, comme l'éprouveront tous ceux qui voudront l'essayer. Cette expérience fait voir évidemment que l'eau dans la bouteille ne contient pas plus de matière électrique qu'elle le feroit dans un bassin découvert, & qu'elle n'a pas la moindre chose de cette grande quantité qui produit le choc & qui est seulement retenuë par le verre. Après que l'étincelle est tirée du conducteur, si vous touchez la doublure de la bouteille (qui pendant tout ce tems est supposée pendre dans l'air dégagée de tout corps non-électrique) les fils sur le conducteur s'éleveront sur le champ & feront voir que le conducteur est électrisé: il reçoit cette électrisation de la surface intérieure de la bouteille, laquelle, quand la surface extérieure peut recevoir de la main qui lui est appliquée ce qui lui manque, en donnera autant que les corps en contact avec elle pourront en recevoir, ou tout ce qu'elle en a d'excès, s'ils sont assez gros. Il est amusant de voir la manière dont les fils hausseront & baisseront en touchant la doublure de la bouteille & le conducteur tour
Sur cette donnée, les Khonds et congénères érigent la victime en divinité, la flattent, vantent sa beauté, chantent ses louanges, dansent autour. A la nuit tombante ils se précipitent pour la toucher la malheureuse porte bonheur! En un clin d'oeil, ils la dépouillent de ses vêtements, les mettent en lambeaux en se les disputant; ils parfument leurs mains dans sa chevelure, raclent ses cosmétiques, sollicitent un crachat qu'ils s'étendront soigneusement sur la figure . Puis la multitude se retire, laissant la nouvelle déesse solidement attachée au poteau, son trône et sa colonne de gloire; l'abandonne affamée, palpitante, nue, dans le froid de la nuit, au milieu des terreurs de la forêt, attendant l'horrible tragédie du lendemain. Quelle veillée! La nouvelle fille des Dieux est censée en conversation intime avec la grande Tari, devenue sa mère et patronne. Que disent
»Les restitutions ci-dessus mentionnées en Asie, en Afrique et en Amérique, ne s'étendront
N'ai-je pas raison de craindre? Ce bal ne peut-il être pour vous et pour une autre personne l'occasion d'une rencontre fâcheuse au lieu d'une fête? Qui prévoit jusqu'où s'étendront des propos dont vous ne serez point avare? Je frémis
Adieu, Valérie, adieu! Mes derniers regards se tourneront vers la Lombardie. Peut-être tressailliras-tu; peut-être tes pieds fouleront-ils un jour la terre qui couvrira ce sein si agité. Il n'y aura pas de fleurs comme sur le tombeau d'Adolphe, elles sont pour l'innocence; mais, dans la cime des hauts pins, le vent murmurera comme les vagues de la mer près de Lido, et de mélancoliques accents descendront des montagnes, se mêleront aux souvenirs de Lido, et ta voix confondra le nom de Gustave et celui de ton Adolphe, et tu croiras le voir près de moi, et tes bras s'étendront vers nous. Oh! laisse-moi la touchante volupté de tes regrets! Adieu, ma Valérie! tu es mienne, par la toute-puissance de ce sentiment qu'aucun être n'a pu éprouver comme moi. Adieu: mon coeur bat et s'arrête tour
L'espèce humaine n'est pas susceptible d'un progrès indéfini. Il a fallu pour qu'elle se développât que la terre fût dans de certaines conditions physiques et chimiques qui ne sont point stables. Il fut un temps où notre planète ne convenait pas l'homme: elle était trop chaude et trop humide. Il viendra un temps où elle ne lui conviendra plus: elle sera trop froide et trop sèche. Quand le soleil s'éteindra, ce qui ne peut manquer, les hommes auront disparu depuis longtemps. Les derniers seront aussi dénués et stupides qu'étaient les premiers. Ils auront oublié tous les arts et toutes les sciences, ils s'étendront misérablement dans des cavernes, au bord des glaciers qui rouleront alors leurs blocs transparents sur les ruines effacées des villes où maintenant on pense, on aime, on souffre, on espère. Tous les ormes, tous les tilleuls seront morts de froid; et les sapins régneront seuls sur la terre glacée. Ces derniers hommes, désespérés sans même le savoir, ne connaîtront rien de nous, rien de notre génie, rien de notre amour, et pourtant ils seront nos enfants nouveau-nés et le sang de notre sang. Un faible reste de royale intelligence, hésitant dans leur crâne épaissi, leur conservera quelque temps encore l'empire sur les ours multipliés autour de leurs cavernes. Peuples et tribus auront disparu sous la neige et les glaces, avec les villes, les routes, les jardins du vieux monde. Quelques familles
Je ne pourrais lui survivre; la mort me paraît moins terrible, lorsque je songe qu'un jour ses ailes immortelles s'étendront sur la sépulture de la pauvre fille de la terre, qui l'a adoré comme lui-même adore le Très-Haut; mais en même tems j'ai compassion de lui. Son chagrin sera éternel; au moins telle serait ma douleur, si j'étais le séraphin, et qu'il fût la créature périssable.
Songez que le président touche trente mille francs, chiffre qui sera doublé, lorsque nos affaires s'étendront. Vous n'êtes pas assez riches pour dédaigner cet avantage.... Et que craignez-vous, dites?
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