Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 2 juillet 2025


Ce rude démenti aux proverbes leur a été infligé par un bourgeois de Paris, nommé Jean Rouvet, qui vivait sous Charles IX. Avant lui, les disettes de bois étaient extrêmement fréquentes. Les chroniques du Moyen-Age sont pleines du récit des émeutes et séditions occasionnées par le manque de combustible. Les amoureux et les poètes qui vont abriter leurs rêveries dans les allées des bois de Boulogne ou de Vincennes, ne se doutent pas qu'ils parcourent les derniers débris des vastes forêts dans lesquelles les rois chevelus menaient leurs chasses gigantesques. Le cor d'ivoire de Roland a bien des fois réveillé ces vieux échos qui ne redisent plus maintenant que la fanfare du clairon de l'infanterie légère. Peu

Autrefois, lorsqu'il y avait peu de routes, le transport du bois était difficile et coûteux; aussi regarda-t-on avec raison l'invention du flottage comme un véritable bienfait. Jean Rouvet, marchand bourgeois de Paris, l'an 1549, imagina qu'en rassemblant les eaux de plusieurs ruisseaux et de petites rivières non navigables on pourrait y jeter le bois qui serait coupé dans les forêts les plus éloignées, les faire descendre jusqu'aux grandes rivières, en former des trains et les conduire

Ça vaut mieux que les raves du père Rouvet, finit-il par dire, la bouche pleine.

Eh bien, c'est un homme de la Nièvre, Jean Rouvet, qui a eu le premier, il y a déj

L'idée de Rouvet était si bonne, si juste, si raisonnable, que ses contemporains le traitèrent de fou. Je vous laisse

Ça, c'était un souvenir du pays. Tous deux crevèrent de rire; et Rosalie se retint après la table, pour ne pas tomber. Un jour, c'était avant leur première communion, Zéphyrin avait volé trois raves au père Rouvet; elles étaient dures, les raves, oh! dures

Mot du Jour

profitent

D'autres à la Recherche