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Mis à jour: 22 octobre 2025
Qu'on le sabre! je l'ordonne! répéta Rostoptchine, blême de fureur. Les sabres hors du fourreau!» commanda l'officier. À ces mots la foule ondula comme une vague, et poussa les premiers rangs jusque sur les degrés du péristyle. Le jeune gars se trouva ainsi porté près de Vérestchaguine; son visage était pétrifié et sa main toujours levée.
À son réveil, on vint lui dire qu'un homme de la police était venu s'informer, de la part du comte Rostoptchine, s'il était parti, et que plusieurs personnes l'attendaient. Pierre fit
On reçut le manifeste le 23 juillet; mais, comme il n'était pas encore imprimé, Pierre promit aux Rostow de revenir dîner le lendemain, et de l'apporter de chez le comte Rostoptchine avec la proclamation qui y était jointe.
À dîner, Pétia raconta ce qu'il avait appris: le peuple avait pris dans la matinée des armes au Kremlin, et, malgré les affiches de Rostoptchine annonçant qu'il pousserait le cri d'alarme deux jours
«Ah! bonjour, guerrier redoutable, dit Rostoptchine. Nous connaissons vos prouesses, mais il ne s'agit pas de cela pour le quart d'heure.... Entre nous, mon cher, êtes-vous maçon?» demanda-t-il d'un ton sévère qui impliquait tout
Mais quel est donc le crime de Klutcharew? demanda Pierre. C'est mon affaire et non la vôtre! s'écria Rostoptchine. On l'accuse de répandre les proclamations de Napoléon? mais ce n'est pas prouvé, poursuivit Pierre sans regarder le comte: et Vérestchaguine...?
À ce moment, le comte Rostoptchine, portant l'uniforme de général, avec un cordon en sautoir, fit son entrée dans la salle, et la foule se recula devant lui. Des yeux perçants et un menton des plus accusés accentuaient tout particulièrement son visage.
À son réveil, le lendemain de son entrevue avec Rostoptchine, il ne se rendit pas compte tout d'abord du lieu où il se trouvait, ni de ce qu'on lui voulait, et lorsque son maître d'hôtel lui nomma, parmi les personnes qui l'attendaient au salon, le Français qui avait été chargé de la lettre de sa femme, le sentiment de désespoir et de découragement auquel il était si facilement enclin s'empara de lui avec plus de violence que jamais. Tout se brouilla et se confondit dans son cerveau: il lui sembla qu'il n'avait plus rien
Au moment où Vérestchaguine tomba et où cette meute haletante et furieuse se rua sur lui, Rostoptchine devint pâle comme un mort, et, au lieu de se diriger vers la petite porte de service où l'attendait sa voiture, gagna précipitamment, sans savoir lui-même pourquoi, l'appartement du rez-de-chaussée. Le frisson de la fièvre faisait claquer ses dents.
On lisait et l'on discutait les dernières affiches de Rostoptchine, comme on discutait les bouts-rimés de Vassili Lvovitch Pouschkine. L'en-tête de ces affiches représentait le cabaret d'un certain barbier, nommé Karpouschka Tchiguirine, ancien soldat et bourgeois de la ville, qui, ayant entendu, soi-disant, raconter que Bonaparte marchait sur Moscou, s'était campé d'un air colère sur le seuil de sa boutique, et avait tenu
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