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Mir-Ibrahim fut trouvé dans cet état déplorable par Reyhan l'Arabe. Ce dernier était un riche seigneur, qui se rendait au del
Couchée dans la même chambre, la vieille, pensant que son hôte avait de mauvais desseins, parce qu'il avait beaucoup mangé, ne put fermer l'oeil. «Veilles-tu, mère? Hélas! oui; je me demande si tu n'es pas Nazar-Djellaly. Non. Tu es donc Guriz-Oglou Erreur. En ce cas, tu es Reyhan l'Arabe? Encore moins. Alors, tu es le chef des sept cent soixante-dix-sept, tu es Kourroglou! Tu l'as dit.
Aussitôt que Reyhan l'Arabe entendit la voix de Kourroglou, il se mit
Kourroglou lia donc Reyhan avec une corde sur sa jument, et, ayant remonté sur Kyrat, il conduisit la jument avec une corde. Il plaça Ayvaz derrière lui, et ils arrivèrent ainsi
Les dix-sept armes qu'il portait avec lui furent employées tour a tour, et cependant aucun avantage ne fut remporté de part et d'autre. Kourroglou vit que Reyhan l'Arabe était un homme d'un courage et d'une habileté supérieurs.
Le son de sa voix, aussi bien que le chant, étaient si terribles, que les cavalières de Reyhan furent frappés de peur. Kourroglou continua: Improvisation. «Montrez-moi un homme qui puisse tendre mon arc. Trouvez-moi un guerrier qui vienne frapper sa tête comme un bélier contre mon bouclier. Je puis broyer l'acier entre mes dents, et je le crache alors avec mépris contre le ciel.
Il regarda son visage, mais il était rouge, tranquille, et ne laissait voir aucun changement. Alors il détacha la courroie qui était derrière sa selle, et s'en servit pour lier les jambes et les mains de Reyhan. Ce dernier dit: «Au moment où tu lançais ton cheval pour franchir le précipice, je te faisais présent d'Ayvaz. J'ai été infidèle
Oh! pourquoi ne pas combattre aujourd'hui?» Les cavaliers de Reyhan l'Arabe, saisis d'horreur, murmurèrent l'un
Reyhan l'Arabe était un seigneur d'un grand courage; on parlait de sa gloire et de ses hauts faits dans toute la Turquie. Kourroglou s'écria: «Retourne dans ta maison, Reyhan; regarde la fuite de tes cavaliers.» Sa réponse fut: «Ce sont tous des corbeaux, ils ne peuvent résister
Soit, battons-nous donc comme des hommes.» Kourroglou, qui voyait que les cavaliers de Reyhan l'Arabe attendaient tranquillement, rangés en ligne, dit dans son coeur: «Malgré ses promesses, je ne puis me fier
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