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Mis à jour: 14 juin 2025
Combien de fois, pendant cette triste nuit en chemin de fer, ne me suis-je pas répété: Imbécile! pourquoi es-tu parti? il fallait rester. Si j'étais resté je la reverrais encore demain matin. Qui m'obligeait
Dans quelques jours, s'il n'arrivait pas d'obstacle, je reverrais le ciel, je respirerais un air pur, j'entendrais le son le plus doux qu'il y ait au monde: celui de la voix de ses semblables.
«Et se levant majestueusement, elle sortit rapidement de la chambre. «Comme elle fermait la porte derrière elle, je crus que l'entrevue était terminée, et que je ne reverrais plus ma jeune amie; mais je me trompais. La porte fut bientôt rouverte, et elle se rassit
Notre jeune maître avait les larmes aux yeux; il m'a serré la main et m'a dit adieu d'un ton singulier, comme s'il voulait dire que je ne le reverrais jamais. M. Steenvliet pâlit visiblement; mais il maîtrisa son émotion, et demanda avec un calme simulé: Avait-il des bagages? Rien que sa petite sacoche de cuir. Et où est-il allé?
Ayant ainsi parlé, la déesse dissipa la nuée, et la terre apparut. Et le patient et divin Odysseus fut plein de joie, se réjouissant de sa patrie. Et il baisa la terre féconde, et, aussitôt, levant les mains, il supplia les Nymphes: Nymphes, naïades, filles de Zeus, je disais que je ne vous reverrais plus! Et, maintenant, je vous salue d'une voix joyeuse.
Et l'homme lui répondit: Certes, si tu voulais revenir avec nous vers tes demeures, tu reverrais la haute maison de ton père et de ta mère, et eux-mêmes, car ils vivent encore et sont riches. Et la femme lui répondit: Que cela soit, si les marins veulent me jurer par serment qu'ils me reconduiront saine et sauve.
Si je croyais que cette lâche épître fût son œuvre, s'écria le général, je ne la reverrais de ma vie! Pourquoi? Il faut en rire. Le général commença une de ces promenades solennelles
Tu me parles toujours d'être marin; tu as donc bien envie de me quitter?... car, une fois sur mer, Dieu sait quand je te reverrais!... Si j'étais libre, entièrement indépendant, je partirais avec toi et nous irions tenter la fortune aux Indes, ou ailleurs; mais, pour voyager, il faut une certaine aisance, et le peu que j'ai m'oblige
Je croyais par moments que tout était fini, avant que rien fût commencé, et que je ne la reverrais jamais, et il me prenait alors, non pas un désespoir, n'abusons pas des grands mots, mais une désespérance profonde, et je ne sais quel découragement plein d'amertume.
«Réponds-moi vite, fixe-moi, s'il est possible, l'époque de ton retour. Nous comptons les semaines, Babet et moi. A bientôt, bonne espérance.» L'époque de mon retour!... Je baisai la lettre en sanglotant, je crus un instant que j'embrassais Babet et mon oncle. Jamais, sans doute, je ne les reverrais. J'allais mourir comme un chien, dans la poussière, sous le soleil de plomb.
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