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J'entendis quelques éclats de voix, des allées et des venues aux étages inférieurs, ce qui me convainquit que les issues étaient bien gardées. Ma porte donnait sur le palier, juste en face de la fenêtre que l'homme avait ouverte pour fuir. Je n'y fis d'abord pas attention... Mais comme je restais l

Elle avait l'air de me dire, quand je rentrais grelottant, fripé et traînant la jambe, que je trouvais bien de l'argent pour passer les nuits, que je ferais mieux d'en trouver pour payer ma chambre. Elle avait l'habitude de me jeter mes bouquets dans les plombs, si je me permettais d'avoir des bouquets lorsque je restais

Je restais stupéfait, lorsqu'une dame d'une beauté ravissante, parée comme Vénus, s'avança vers moi; soyez le bien venu, me dit-elle, nous vous attendions et vous manquiez

Tandis que je prenais des arrangements prolongés par l'éloignement de la France, je restais abandonné sur les ruines de Rome. À ma première promenade, les aspects me semblaient changés, je ne reconnaissais ni les arbres, ni les monuments, ni le ciel; je m'égarais au milieu des campagnes, le long des cascades, des aqueducs, comme autrefois sous les berceaux des bois du Nouveau Monde. Je rentrais dans la ville éternelle, qui joignait actuellement

Qu'en savez-vous? Eh bien! non, j'y restais. Je suis chargée de veiller aux souvenirs, je les empêche d'approcher, et, quand je ne peux pas les prévenir, je les discute, et je les chasse... Elle soupira; elle leva la tête, et les rayons du jour frissonnèrent sur ses cheveux comme sur des avoines qui plient.

C'est la capitale de la Louisiane. Drôle de nom! Je restais chez un planteur français, un bon maître! Ah! ce n'est pas étonnant; les Français sont tous bons. Et c'est lui qui vous a fait instruire? Oui, monsieur, j'ai été élevée avec sa fille. Il fallait ne pas les quitter, alors. Oh! dit-elle amèrement, ce n'est pas nous qui l'aurions quitté, M. Pascal.

Dans le fond de mon âme, agitant ma pensée, Je restais l

Je restais toujours

C'était au mois de mai 1878. Mes sœurs me trouvant trop petite pour aller aux exercices du mois de Marie tous les soirs, je restais avec la bonne, et faisais avec elle mes dévotions devant mon autel

Je restais de plus en plus immobile et assis sur ma chaise... Cabrion s'avançait toujours lentement... me tenant sous son regard comme le serpent l'oiseau... car il me faisait horreur, et malgré moi je le fixais. Il arrive tout près de moi... Je ne puis davantage supporter son aspect révoltant... c'était trop fort... je n'y tiens plus... je ferme les yeux... Alors, je le sens qui ose porter ses mains sur mon chapeau; il le prend par le haut, l'ôte lentement de dessus ma tête... et me met le chef