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Mis à jour: 27 octobre 2025
Mais figurez-vous qu'au bout de huit jours je ne respirais plus. Comment cela? La chambre était trop petite: j'absorbais trop d'air. Vraiment? À ce que l'on m'a dit, du moins... Et l'on m'a transporté dans un autre logement. Où vous respiriez, cette fois?
Comme je respirais la fraîcheur du soir, après une longue répétition, mollement couché dans mon petit navire, et regardant, de la hauteur où je m'étais élevé, s'éteindre le jour, j'entends sortir d'un nuage, dont je longeais les contours, une voix de femme stridente, pure cependant, et dont l'agilité extraordinaire, dont les élans capricieux et les charmantes évolutions semblaient, en retentissant ainsi au milieu des airs, être le chant de quelque oiseau merveilleux et invisible. J'arrêtai soudain ma locomotive... Après quelques instants d'attente, au travers des vapeurs empourprées par le soleil couchant, je vis s'avancer un élégant ballon dont la marche rapide se dirigeait vers Euphonia; une jeune femme était debout
Je ne respirais plus. Le pouls était immobile. Le cœur avait cessé de battre. La volition n'avait point disparu, mais elle était sans efficacité. Mes sens jouissaient d'une activité insolite, quoique l'exerçant d'une manière irrégulière et usurpant réciproquement leurs fonctions au hasard. Le goût et l'odorat se mêlaient dans une confusion inextricable et ne formaient plus qu'un seul sens anormal et intense. L'eau de rose, dont ta tendresse avait humecté mes lèvres au moment suprême, me donnait de douces idées de fleurs,
La fraîcheur et l'air pur de ce moment calmèrent par degrés mon imagination et en chassèrent le merveilleux. Au lieu d'une nature enchantée, je ne vis qu'une nature naïve. Je sentais la vérité rentrer dans mon âme, mes pensées naître sans trouble et se suivre avec ordre; je respirais enfin. Je n'eus rien de plus pressé alors que de me demander si j'étais l'amant de celle que je venais de quitter, et je fus bien surpris de ne savoir que me répondre. Qui m'eût dit hier
Ma mère voulut me nourrir elle-même; je ne quittais son sein que pour passer dans les bras de mon père; je respirais la santé avec l'air pur du plus beau climat du monde.
Vois-tu, lorsque je suis parti, je n'ai pas pu souffrir; il n'y avait pas de place dans mon coeur. Je t'avais tenue dans mes bras, ô mon corps adoré! Je t'avais pressée sur cette blessure chérie! Je suis parti sans savoir ce que je faisais. Je ne sais si ma mère était triste; je crois que non. Je l'ai embrassée, je suis parti, je n'ai rien dit. J'avais le souffle de tes lèvres sur les miennes, je le respirais encore. Ah, George! tu as été heureuse et tranquille l
C'est qu'alors, reprit-elle avec une exaltation croissante, je respirais un air pur, vivifiant et libre... oh! libre... surtout... libre... et si salubre... si généreux
Depuis plus d'une semaine je respirais le doux air de Naples; mes jours étaient transportés dans des promenades et des rêveries charmantes; heureuse, sans soucis d'affaires, sans inquiétude de cœur, sans aucune de ces pensées vulgaires qui avec le sommeil dévorent les trois quarts de l'existence, je me laissais vivre, état délicieux de l'ame qui se compose tout
Je la voyais bien mieux que la première fois, d'abord parce que j'étais plus rapproché d'elle, puis mes sens avaient acquis une telle acuité que j'aurais pu lire les caractères arabes des sequins scintillant en un cadre mouvant et gracieux autour de son visage d'une correction sculpturale, et même je respirais le musc que dégageait sur sa poitrine un petit sachet de soie, et bientôt les capiteux parfums des moiteurs de son corps échauffé par la danse.
Je ne sais ce qu'il pensa, lui, mais il vint s'asseoir tout près de moi, si près que je respirais son haleine; je voulais fuir, et me sentais clouée
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