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Mis à jour: 6 juillet 2025


Quand tout fut fini pour l'enfant noyé et qu'on l'eut posé sur un lit, enveloppé de couvertures, le médecin arriva. «Eh bien, dit-il, l'enfant respire-t-il encore? Je le crois mort, dit Mme Renou; mais il y aurait peut-être

M. Renou était arrivé de Loudun avant la bataille de Thouars; il s'y distingua par la plus rare valeur, comme

Ces dangereuses innovations ne furent pas les seules que produisit la demeure de M. Renou parmi nous. Nous n'avions aucun soupçon sur cet étranger, parce que nos ames étoient pures et que la longue félicité dont nous jouissions nous paroissoit inaltérable. Lui-même étoit pénétré d'admiration pour nos moeurs; mais quoiqu'il fût vivement animé du désir de faire le bien, sa seule conversation pouvoit produire du mal. On écoutoit avec une avide curiosité le récit des nouveautés de son pays; l'attention qu'on prêtoit

Le penchant naturel de M. Renou pour la vie retirée, avoit été fortifié dès sa première jeunesse par la passion de l'étude et la vie de la campagne. Lorsque les circonstances le présentèrent dans le monde, il en fut dégoûté aussitôt, en voyant que la science de ses livres n'étoit l

Voici maintenant la traduction du jeune Renou. par M. Parnell. «Au fond d'un désert inconnu au monde, vivoit depuis son jeune âge un vénérable ermite. Sa demeure étoit une caverne, son lit un peu de mousse, sa nourriture des fruits, et sa boisson l'eau du rocher. Loin des hommes, il étoit toujours en présence de Dieu; sa seule occupation étoit de le prier, et son seul plaisir de l'adorer.

Pendant plus d'une heure encore, on ne cessa de frictionner, réchauffer l'enfant, mais sans obtenir aucun bon résultat. Quand Mme Renou vit l'inutilité de leurs efforts, elle enveloppa l'enfant dans des linges qui devaient être son linceul, et elle le le laissa sur le lit de la chambre il avait été transporté.

Nous étions au bas du coteau lorsqu'il acheva ces mots. Je reprimai l'émotion qu'ils excitèrent en moi en songeant que la conduite de M. Renou justifioit celle du conseil. On m'avoit d'abord reçu

Ma pauvre femme, pensez que si votre enfant était mort dans son lit, c'eût été par maladie, et que vous l'auriez vu souffrir cruellement pendant plusieurs jours; c'eût été plus terrible encore; le bon Dieu vous a épargné cette douleurPendant longtemps encore, Mme Renou resta près de la pauvre femme sans pouvoir calmer son désespoir.

A ce mal physique s'est joint un mal moral, peut-être plus funeste encore. Ce M. Renou, qui avoit désiré avec tant d'ardeur se joindre

MM. Dupérat, Forestier, Renou, Duchesnier, Jarry, Cacquerey, le chevalier de Chantreau, et quelques autres, pénétrèrent en Bretagne, se cachèrent d'abord, puis allèrent joindre les Chouans de M. de Puysaye aussitôt qu'ils se montrèrent, et combattirent avec eux. M. de Cacquerey fut surpris seul et tué. Au bout de quelques mois, les autres s'ennuyant d'une guerre qui se faisait obscurément, et qui se passait,

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