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Mis à jour: 22 mai 2025


Ne me remerciez pas, dit-elle.... Puis, gaîment et tirant son éventail: Je t'apportais cela, comme c'était convenu, dit-elle

Remerciez votre Henri, quand vous le verrez, de la parfaite amitié qu'il m'a témoignée. Votre enfant est-il encore malade? ne pouvez-vous pas le quitter? J'irai vous voir dès que je serai mieux; mais ce que j'ai souffert m'a redonné la fièvre, on veut que je me ménage encore quelque temps. Mademoiselle d'Albémar

Oh!... ne me remerciez pas, interrompit Martial avec feu, ce sera

Vous me remerciez! et de quoi? De ce que vous venez de dire. Qu'ai-je dit! j'ai la tête perdue; je ne comprends plus rien, mon Dieu! mon DieuEt elle se leva les cheveux épars, les lèvres écumantes. «Vous avez répondu, madame,

C'est moi qui, plus brave que tous les prétendus amis, j'excepte M. de Guiche, vous ai fait revenir de Londres; c'est moi qui vous fournis les preuves douloureuses, mais nécessaires, qui seront votre guérison, si vous êtes un courageux amant et non pas un Amadis pleurard. Ne me remerciez pas: plaignez-moi même, et ne servez pas moins bien le roi. Raoul sourit avec amertume.

Ça, messieurs, remercions frère Robert; n'est-ce pas, M. de Sully? Ne me remerciez pas tant, murmura le moine, car, moi, je ne me sens pas de force

LA CHANOINESSE, avec ironie. Remerciez madame la marquise. On ne peut pas venir plus

Et comme la bonne dame ne paraissait pas convaincue, son vieil ami s'empressa d'ajouter: Si votre fils ne vient pas, je vous promets qu'après dîner, je pousserai jusque chez lui pour prendre de ses nouvelles. Ne me remerciez pas, je m'en fais une fête. Voil

Ne me remerciez pas, Wilhelm! continua Forsiani. J'ai connu votre mère autrefois, je vous le dis encore, et, ne fut-ce pour votre distinction et votre charmant courage, je vous aimerais pour elle. Vous allez être mis, ajouta le prince, en présence d'une femme d'un esprit hors ligne et d'une influence exceptionnelle. Peu de gens la connaissent; on en parle peu: c'est cependant, j'en suis persuadé, la femme la plus puissante de l'Italie,

Madame, je vais maintenant vous dire adieu. Si je persévère, comme il faut l'espérer, je ne vous écrirai plus et nous ne nous reverrons jamais sur la terre. Mais ne vous affligez pas. Le coeur en haut, et remerciez Dieu pour moi. Au revoir dans l'éternité, chez notre Père.

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