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Je relus vingt fois le billet du prince de Talleyrand, et je dis

A peine eus-je finis ce billet, que je volai chez lord Cavendish, espérant les trouver encore: ils étaient partis en poste. J'hésitai si j'essayerais de les rejoindre; mais des motifs si forts, un sentiment si vif, m'attiraient ailleurs, que je ne pus y résister. Je relus de billet de Manteul, et je compris que, puisqu'il me fuyait, je ne devais pas le forcer

Tout près de l'histoire, nous trouvons ces Mémoires si souvent relus, la simplicité sans pareille de Madame de la Rochejaquelein atteint quelquefois au sublime; l'histoire de l'Espagne sous Napoléon, dans le roman d'Alonzo, plus d'une fois la touche brillante et noble de M. de Salvandy rappelle assez vivement celle du Génie du Christianisme; enfin, cette Correspondance d'Orient, commencée avant, finie après 1830, par un écrivain plus fidèle que tout autre aux traditions de cette élégance naturelle et facile, de cette pureté de langue et de goût dont le dix-huitième siècle, au milieu de beaucoup d'erreurs, ne s'était pas départi.

Je relus bien des fois sa lettre, je lui écrivis avant de me coucher. Je lui dis que j'avais eu grand besoin de son aide, que sans elle je ne serais pas, je n'aurais jamais été ce qu'elle croyait, mais qu'elle me donnait l'ambition de l'être, et le courage de l'essayer.

Je relus plusieurs fois ces deux lignes qui choquaient, par circonstance, si directement ma vanité. Sans prétendre

Je relus trois fois la phrase; ce n'était pas une métaphore, mais c'était une erreur. Le paysan ne met pas ses mains dans le fumier. Il n'y touche qu'avec des outils

«Brûlez ce billetJe lus et relus cette lettre, puis je la jetai au feu, selon la recommandation qu'elle contenait. L'écriture m'était complètement inconnue, et, je l'avoue, j'ignorais d'où elle pouvait, venir.

Durant l'hiver 1879-80, je relus Snegourotchka et j'ai découvert soudain son étonnante beauté poétique. L'envie me vint aussitôt d'écrire un opéra sur ce sujet, et,

»Pour ce qui est de la poésie en général , plus j'y pense et plus je suis persuadé que lui et nous tous, tant que nous sommes, Scott, Southey, Wordsworth, Moore, Campbell et moi, sommes tous également dans une fausse route: que nous suivons tous un système erroné de révolution poétique qui ne vaut rien du tout, et dont Rogers et Crabbe sont les seuls exempts, et je ne doute pas que la génération actuelle et celle qui vient ne finissent par être de cette opinion. Ce qui l'a confirmée en moi, c'est que j'ai voulu dernièrement parcourir quelques-uns de nos classiques, Pope surtout, et voici l'épreuve que j'ai faite: j'ai pris les poèmes de Moore, les miens et quelques autres encore, et je les ai relus

Quand il eut bien repassé tous ces noms dans sa mémoire, quand il les eut bien relus, bien étudiés, bien commentés sur ses listes, il secoua la tête.