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Mis à jour: 31 mai 2025


! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais & fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après, elle partit pour la Capitale, notre Frère-aîné l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas

L'audience ne dura pas trois minutes. Mais je ne regrettai pas ma longue attente; elle m'avait porté bonheur. Je n'eus qu'

J'avais conçu, du caractère et du patriotisme du duc d'Otrante, la plus haute opinion; je le regardais comme l'un des premiers hommes d'état de France; et je regrettai amèrement que tant de qualités et de talens, au lieu d'être consacrés au bien de la patrie, fussent employés

Je regrettai amèrement de n'avoir pas suivi mon premier mouvement, qui me disait de tout abandonner pour le suivre; s'il me quittait... la froide estime du monde compenserait-elle jamais la perte de cet amour dans lequel j'avais concentré tout le bonheur, toutes les espérances de ma vie?

Je regrettai d'avoir

L'adieu que m'avait lancé cet inconnu, au seuil de la mort, m'avait profondément remué et je regrettai de ne pas lui avoir adressé les paroles de paix que l'on dit au chevet des agonisants. Cet homme, était mon frère, après tout, un frère malheureux, que la fatalité avait sans doute poursuivi dès sa naissance!

Le Margrave, mon beau-père, la cour d'Anspac, de Meinungen et de Bevern partirent dans ces entrefaites. Je regrettai beaucoup cette dernière et surtout la duchesse, pour laquelle j'avois pris une tendre amitié. Elle avoit été confidente de mes peines et m'avoit rendu beaucoup de bons offices.

Je le regrettai d'autant plus, que je me persuadais que l'inspiration d'une cour qu'il savait dévouée modifierait peut-être sa résolution, et l'engagerait

Ce fut alors que je reconnus le tort que j'avais eu de souffrir qu'on emprisonnât mes désirs. Je regrettai ma liberté, l'amour m'avait dessillé les yeux et me fit envisager les désagréments de ma situation. En vain je m'efforçai d'en adoucir l'amertume, mon cœur ne pouvait s'ouvrir

Je trouvai dans l'hôtel du prince Albert tous mes camarades blessés. L'Empereur ne les avait pas perdus de vue, car le chirurgien en chef de la cour d'Autriche, logé au palais de Schœnbrünn, lui ayant offert ses services pour les blessés français, Napoléon l'avait chargé de soigner les aides de camp du maréchal Lannes, et le bon docteur Franck venait deux fois par jour au palais du prince Albert. Dès qu'il eut examiné ma blessure, qui lui parut être en très mauvais état, il me prescrivit un repos absolu. Cependant, malgré ses avis, je traversais souvent les corridors pour me rendre auprès de mon ami de Viry, qu'une blessure bien plus grave que la mienne retenait au lit. J'eus bientôt le malheur de perdre cet excellent camarade, que je regrettai infiniment, et comme j'étais le seul aide de camp qui connût son père, je fus dans la triste obligation d'annoncer cette fatale nouvelle au malheureux vieillard, qui, déchiré par la douleur, survécut peu de temps

Mot du Jour

l'égaierait

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