Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 11 juin 2025
Poursuivant ensuite avec plus de chaleur, il s'écriait: «Pourquoi menacer mon absence des différens partis encore existans dans l'intérieur de l'empire? Où sont-ils? je n'en vois qu'un seul contre moi, celui de quelques royalistes, la plupart de l'ancienne noblesse, vieux et sans expérience. Mais ils redoutent plus ma perte qu'ils ne la désirent. Voici ce que je leur ai dit en Normandie: On me vante fort comme grand capitaine, comme politique habile, et l'on ne parle guère de moi comme administrateur; pourtant ce que j'ai fait de plus difficile et de plus utile, a été d'arrêter le torrent révolutionnaire; il aurait tout englouti, l'Europe et vous! J'ai réuni les partis les plus opposés, mêlé les classes rivales, et, parmi vous cependant, quelques nobles obstinés résistent: ils refusent mes places! Eh! que m'importe
Ce n'est guère que sur les moeurs qu'ils pourraient s'accorder quelque liberté, et jadis ils laissaient volontiers leur corps prendre la revanche des esclavages de leur esprit; mais beaucoup d'entre eux se refusent aujourd'hui cette consolation. Ils vivent enfin dans un monde très restreint; ils ne se trouvent de plain-pied qu'avec un très petit nombre d'hommes: ils ne peuvent donc connaître les hommes qu'imparfaitement. Ils ne les voient pour la plupart que sous un angle très particulier et très étroit, et dans une attitude de respect ou de défiance. Un prince ne peut pas vivre en pleine mêlée humaine, vivre dans la rue, aller où il lui plaît, frayer tranquillement avec des gens de toute classe. Presque partout il gêne ou est gêné. Un prince ne peut,
Le gouverneur de l'île y exerce la justice, et décide les petits différens qui s'élèvent entre les habitans. S'ils refusent d'obéir
Dans les guinguettes, les ouvrières refusent souvent de danser avec les soldats. Ailleurs, aux yeux des belles, la tenue revêt le galant d'une crânerie irrésistible; ici elle tare le cavalier le plus fringant. Lorsqu'ils se sentent en nombre, les soldats rebutés ne digèrent pas l'affront, mais piqués au vif, élèvent la voix, prennent l'offensive, mettent le bal sens dessus dessous, tirent le bancal ou la latte, et se vengent du mépris de leurs donzelles sur les gindres et les garçons bouchers. Presque chaque semaine des bagarres éclatent entre pékins et soldats; surtout dans ces tènements obliques, avoisinant les casernes de Berchem et de Borgerhout. Cette inimitié entre le civil et le militaire sévit même hors de l'enceinte fortifiée, dans la campagne des environs d'Anvers. Malheur au traînard qui regagne seul, le soir, un des forts avancés. Les ruraux apostés tombent sur lui, le criblent de coups, l'assomment, le traînent sur le pavé. Ces guets-apens appellent de terribles représailles. À la suivante sortie les frères d'armes de la victime descendent en force dans le village et s'ils ne parviennent pas
La mort récente de la compagne de sa vie jeta une ombre visiblement plus grave sur sa physionomie. Je le vis le lendemain de cette perte: il n'affecta point un de ces deuils qui refusent d'être consolés.
Platon, dans sa République, fait la réflexion suivante: «Pour cette raison les bons refusent de gouverner pour l'argent ou l'honneur; car ils ne veulent pas avoir la réputation d'être des mercenaires ou des voleurs, en acceptant publiquement ou en s'appropriant secrètement de l'argent; ils ne tiennent pas non plus aux honneurs. Par la force et les amendes on doit les contraindre
N'existe-t-il pas une secte philosophique qui a entraîné dans ses erreurs quelques hommes de nom? Ne parle-t-on pas d'un monde entier qui se détache de la mère patrie, et dont les enfants refusent de reconnaître leur père? N'est-il pas un peuple qui s'intitule nation?
Depuis un siècle, les partis prennent beaucoup de noms, beaucoup de prétextes; au fond, il s'agit toujours de la même chose: la lutte des pauvres contre les riches. Or, les pauvres demandent plus que ce qui est juste, et les riches refusent même ce qui est juste.
Bien que de nos jours, les tribunaux aient retenti et retentissent encore des discussions élevées entre les exploitans des mines de houille et les propriétaires des arènes, néanmoins la matière de ces discussions paraît être généralement inconnue : elle est presque totalement étrangère aux intéressés et les exploitans, qui pourraient le mieux en discourir avec connaissance de cause, se refusent
À côté de cette singulière doctrine sont développées de fort justes remarques, telles que celles-ci: Beaucoup d'auteurs refusent aux poissons la faculté de respirer, parce qu'ils n'ont pas de poumons; mais, dit Pline, «je ne dissimule pas que je ne puis accepter leur opinion, parce que certains animaux peuvent avoir, si la nature le veut, d'autres organes respiratoires que des poumons, de même que chez beaucoup d'animaux une humeur particulière remplace le sang.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche