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Mis à jour: 21 juin 2025


Cette dernière strophe, si courte et si bizarre, nous paraît la plus belle et la plus orientale des improvisations de Kourroglou. Elle a la concision mystérieuse du style biblique. L'âme coupable s'y dévoile en voulant cacher sa honte et son effroi sous des métaphores. L'orgueil blessé, la colère, la vengeance toujours vivantes dans le coeur du meurtrier, entonnent le chant du triomphe; les méchantes passions acceptent la mort de l'homme juste et généreux comme un bouquet de roses. Puis aussitôt le désespoir du maudit étouffe l'hymne impie. Oh! que tes montagnes se couvrent de brouillards! la nuit descend sur les yeux de Caïn. Kourroglou, que ton bras soit desséché! Et le bon refrain si bête et si sombre: «J'ai rencontré un marchanden dit plus qu'il n'est gros. Nous connaissons certains refrains romantiques des ballades modernes, qui cherchent le terrible et le naïf,

D'autres enfin les amateurs de l'art nautique prennent place dans une barque légère et battent les flots en cadence en faisant retentir l'air de mille refrains. Bref, tous les goûts peuvent se satisfaire, et l'homme est libre de choisir les amusements qui lui plaisent le mieux, pourvu qu'il sache respecter toujours les règles de la morale et de la prudence.

Dans les nuits de lune, de cette somnolente lune d'Europe, je me demandais, voguant dans une barque sur le Rhin, si je ne pourrais pas tromper ma fantaisie pour te voir apparaître entre les peupliers de la rive, assise sur le rocher de la Lorelay ou bien chantant au milieu des ondes, dans le silence de la nuit, comme la jeune fée des consolations chargée d'égayer la solitude et la tristesse de ces vieux châteaux ruinés. J'errais par les bois peuplés des fantastiques créatures, filles des poètes, remplis des mystérieuses légendes des générations passées; je prononçais ton nom, je croyais te voir dans la brume s'élevant du fond de la vallée, je croyais t'écouter dans le murmure des feuilles et, quand les paysans revenant du travail faisaient entendre au loin leurs refrains populaires, il me semblait que ces accords s'harmonisaient avec mes voix intérieures, qu'ils chantaient pour toi, qu'ils donnaient une réalité

Des échos de la fête lui parvenaient par bouffées: rires et cris lointains, refrains et crincrins assourdis. En les écoutant, la vieille femme grommelait: Sautez, hurlez, mordez

Il savait quelques refrains de France et d'Angleterre, et il résolut de les essayer. Les Japonais devaient certainement être amateurs de musique, puisque tout se fait chez eux aux sons des cymbales, du tam-tam et des tambours, et ils ne pouvaient qu'apprécier les talents d'un virtuose européen.

Veut-on savoir sont écloses la plupart des chansons de bagne, ces refrains appelés dans le vocabulaire spécial les lirlonfa? Qu'on écoute ceci: Il y avait au Châtelet de Paris une grande cave longue. Cette cave était

Il éclatait d'aise, toute la vieille gaieté militaire Française sonnait dans son rire de triomphe. C'était la légende, le troupier Français parcourant le monde, entre sa belle et une bouteille de bon vin, la conquête de la terre faite en chantant des refrains de goguette. Un caporal et quatre hommes, et des armées immenses mordaient la poussière. Brusquement, sa voix gronda.

Puis, s'interrompant et prêtant au loin l'oreille, Victorin ajouta: Entendez-vous, ma mère? entendez-vous ces chants que le vent nous apporte?... Tous nous avons fait silence, et ces refrains lointains, répétés en choeur par des milliers de voix, vibrantes de la joie du triomphe, sont venus jusqu'

C'est donc dans le XIe siècle qu'il faut placer la période la plus ancienne de la poésie des troubadours, celle que nous ne connaissons pas, mais que nous pouvons reconstituer par hypothèse, et en nous aidant aussi, comme on l'a fait, de certains refrains qui nous ont été conservés. Un texte célèbre nous prouve que les premiers troubadours avaient peut-être eu conscience des origines de leur art. Il nous est dit que le troubadour gascon Cercamon, qui a vécu dans la première moitié du XIIe siècle, avait composé des pastourelles

Le bon vieillard chantait d'un ton mélancolique Des refrains de chansons, des couplets de cantique, Ainsi que ses aïeux, jadis, avaient chanté, A l'ombre de leur bois, sous leur ciel enchanté, Leur ciel de Normandie. Et son Evangéline, Portant jupe rayée et blanche capeline Filait, en se berçant, une filasse d'or. Le métier dans son coin se reposait encor. Mais le rouet actif mêlait avec constance, Son ronflement sonore

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l'égaierait

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