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Mis à jour: 16 juin 2025


Les Mégachiles pratiquent une industrie toute semblable; mais, moins délicates, c'est dans les feuilles de plantes diverses que d'ordinaire elles découpent les pièces qu'elles appliquent sur la paroi de leur demeure. Les travaux de la Mégachile sont depuis longtemps connus. Ray les avait déj

«Donnez-moi une ligne de n'importe quel article, disait Machin, et je me fais fort de faire condamner son auteurVoici plus de trente lignes de Ray Nyst. Elles sont suffisantes pour juger de la neutralité de celui-ci. Et juger, c'est condamner! (L'

Mais les formes animales connues sont de plus en plus nombreuses; il devient de plus en plus difficile de les reconnaître dans les longues et confuses descriptions qu'on en fait. Sperling a le premier l'idée de les définir au moyen de courtes diagnoses qu'il nomme des préceptes . Toutefois les groupes d'individus auxquels correspondent ces diagnoses, bien que nettement définis dans l'esprit des zoologistes, n'ont pas encore reçu de dénomination particulière. Comme le faisait jadis Aristote, on emploie indifféremment les mots genre et espèce pour désigner des groupes d'étendue variable. On dit ainsi: l'espèce des oiseaux en comprend un grand nombre d'autres; l'espèce des mammifères se divise en plusieurs genres; on n'a pas non plus beaucoup réfléchi sur les caractères de ce que nous nommerions aujourd'hui une espèce. On admet sans trop de peine, malgré les efforts de Redi pour démontrer l'inanité de la génération spontanée des insectes, que des animaux peuvent exceptionnellement engendrer d'autres animaux tout différents et que beaucoup peuvent naître de la rosée, de la pourriture ou du limon. Cependant le besoin de plus de précision se fait graduellement sentir. Ray entre enfin hardiment dans la voie que nous suivons aujourd'hui, en déterminant d'une manière définitive la signification qu'il faut donner au mot espèce et en fixant ainsi pour tous une idée qui jusque-l

Le même M. Ray Nyst a publié dans La Belgique (de Bruxelles), en septembre 1915, une série d'articles engageant les ouvriers belges

Ray embrassait dans le cercle de ses études la botanique et presque toutes les branches de la zoologie qu'il avait étudiées soit seul, soit avec le concours de son ami Willoughby, mort prématurément et dont il publia les travaux. Peu

Comment les journaux «belges» acceptent-ils leur muselière? Un article de La Belgique (journal censuré de Bruxelles), reproduit et commenté par L'Echo belge de La Haye, nous renseignera: Le nommé Ray Nyst, journaliste de métier, publie dans un quotidien imprimé au pays occupé quelques aperçus sur la censure. Il sera utile de ne pas les oublier

C'était tout bonnement une tortue de l'espèce la plus commune: testudo lutaria, sive aquarum dulcium; ce qui veut dire, selon Linné chez les anciens, et selon Ray chez les modernes, tortue de marais ou tortue d'eau douce.

Aux professeurs que j'ai cités pour cette année, il faut, d'après la Chronique de Paris, du 4 décembre 1789, ajouter l'abbé Ray, qui, l'histoire naturelle ne pouvant être enseignée par un seul maître, se chargea d'un cours de zoologie. Pendant cette année lycéenne, La Harpe se fit quelquefois remplacer par Jacques-François-Marie de Boisjolin, lecteur du duc de Montpensier; celui-ci, selon l'article que lui consacre la Nouvelle biographie générale, aurait simplement lu au Lycée les cahiers de La Harpe; mais l'article de la Chronique de Paris, du 27 mars 1790, ne paraît pas réduire M. de Boisjolin

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