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Mis à jour: 29 juin 2025
Lutter... A quoi bon? Je sens que je serai vaincue. Je suis emportée sur un chemin qui me ramène en bas... où est ma place... Claude!... oh! Claude!...
Cela paraît absurde, n'est-ce pas, cependant cela ne l'est pas. Oui, je suis heureuse, la plus heureuse des femmes que tu sois revenu, mais j'aurais voulu que tu revinsses de ton propre mouvement et non pas ramené par la lettre de Louise. Si ton ami Byasson t'a emmené chez lui, ce n'était point, n'est-ce pas, pour te montrer ses tableaux ou ses curiosités, c'était pour tâcher de te décider
Enfin je fus reçue; et je donnai pour tableau de réception la Paix qui ramène l'Abondance . M. Pierre alors fit courir le bruit que c'était par ordre de la cour qu'on me recevait. Je pense bien en effet que le roi et la reine étaient assez bons pour désirer me voir entrer
Hier, j'étais heureux. J'étais. Mot doux et triste! Le bonheur est l'éclair qui fuit sans revenir. Hélas! et pour ne pas oublier qu'il existe, Il le faut embaumer avec le souvenir. J'étais. Je ne suis plus. Toute la vie humaine Résumée en deux mots, de l'onde et puis du vent. Mon Dieu! n'est-il donc pas de chemin qui ramène Au bonheur d'autrefois regretté si souvent.
Tout en labourant de l'éperon, au retour, son cheval pour l'avoir ramené
Oh! monsieur Morrel, s'écria le jeune marin, saisissant, les larmes aux yeux, les mains de l'armateur; monsieur Morrel, je vous remercie, au nom de mon père et de Mercédès. C'est bien, c'est bien, Edmond, il y a un Dieu a ciel pour les braves gens, que diable! Allez voir votre père, allez voir Mercédès, et revenez me trouver après. Mais vous ne voulez pas que je vous ramène
Dans des morceaux d'un autre genre, que le sujet de son poëme y ramène souvent, dans les descriptions de combats singuliers, on reconnaît
Tout ceci nous ramène au point que nous avons quitté depuis longtemps. Nous nous étions arrêtés au destin extérieur, mais il est d'autres larmes que celles qu'arrachent
Bref, par Pythagore, et par Platon qui, dès avant le Christ, fut un demi-chrétien, Tiburce est ramené au christianisme en même temps que Mélissandre obéit aux voix non plus de ses déesses, mais de ses «saintes», sainte Julie, Jeanne d'Arc «la Salvatrice», et les saintes Maries de la Mer. La païenne est devenue chrétienne. Nous ne sommes pas très surpris. Nous ne sommes pas très émus, car cette conversion, toute cérébrale, intéresse trop exclusivement notre esprit pour ne pas être un peu étrangère
L'hiver a aussi ramené Caroline
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