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Depuis lors, Bavon parla souvent encore de cette maison; il vantait le luxe des meubles que son maître y faisait placer et l'arrangement plein de goût de toute la maison. M. Raemdonck l'y avait déj

Après les avoir embrassés de nouveau, Bavon sortit de la ruelle pour se diriger en toute hâte vers la maison de M. Raemdonck, l'attendait un nouveau présent. Quel serait ce présent? Un livre, peut-être autre chose! Bavon sonna chez M. Raemdonck. La servante le conduisit dans le bureau. Un homme déj

C'est possible, monsieur; il croyait qu'il valait mieux pour Godelive n'avoir plus de relations avec des gens beaucoup au-dessus de notre état; car nous savions par une personne de Gand que vous étiez devenu commis chez M. Raemdonck, et Godelive disait toujours que vous ne manqueriez pas de devenir riche. Et pourquoi Godelive ne nous écrivait-elle pas pour avoir de nos nouvelles?

M. Raemdonck se leva et serra la main du jeune homme en lui disant: Je vous félicite, monsieur le premier commis; allez

Oui, je le sais, dit le commis, monsieur vous a fait venir; mais il est dans la fabrique avec un marchand et il vous prie de l'attendre un peu. Asseyez-vous, mon ami, M. Raemdonck voudrait vous faire du bien, si c'est possible. Il voudrait connaître ce que vous savez et jusqu'

Attendez encore un instant ici, mon ami, dit-il; je vais avertir M. Raemdonck de votre arrivée. Il laissa Bavon seul dans le bureau, ouvrit une porte et entra, au bout d'un corridor, dans une salle le propriétaire de la fabrique était assis devant une table et feuilletait des papiers. Eh bien, Vremans, quelle est l'instruction du jeune homme? demanda-t-il. Pourriez-vous l'employer?

Je vous félicite, mon garçon, dit-il en lui prenant la main. On vous a fait un honneur que vous méritez bien. J'étais présent et je me suis senti profondément ému. Cela vous portera bonheur, d'aimer ainsi vos parents. Bavon prononça le nom de M. Raemdonck.

M. Raemdonck ouvrit un tiroir de son pupitre, y prit quelque chose, s'approcha de Bavon tout étourdi, et lui dit: Venez demain dans le grand bureau; le premier commis est un brave homme et un noble cœur, il aura de l'amitié pour vous et vous poussera. Je veux vous donner un denier

Malgré la tristesse constante qui pesait sur son esprit, Bavon accomplissait si bien ses devoirs dans son bureau, qu'il obtenait de plus en plus la faveur de M. Raemdonck et du premier commis. On avait déj

M. Raemdonck et le vieux premier commis prenaient plaisir