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Mis à jour: 1 juin 2025


Ils rêvaient l'un de l'autre aussitôt endormis, pensaient l'un

Muets, immobiles, ne sachant s'ils rêvaient ou non,

Et c'était sur cette image qu'ils devaient fixer les yeux, dans leur attente mystique du monde nouveau, lorsqu'ils rêvaient de ce temps « la terre tout entière serait aux moujiks, ce serait partout Moscou, une universelle Moscou, ce qui vaut 60 kopecks n'en vaudrait plus qu'un, le kvass coulerait en abondance sur les places publiques, et la vodka aurait versé l'oubli, cette fois définitif, des misères passées».

Ils écoutaient, sans qu'une syllabe de la magique prose tombât hors de leurs oreilles, et tout en écoutant, ils rêvaient; ils oubliaient «la toute-puissance des esprits inférieurs»; ils se divinisaient, ils gravissaient, souples et légers, les mystiques échelons, sommés, maintenant, par l'illusion d'un air très pur et très dilatant respiré au sommet d'une étroite montagne, au-dessus des nuages. En vérité, ils avaient, ainsi que le disait si bien l'homme de la pièce, l'homme moderne, «le cerveau troublé»; ils disaient au monde entier: «Vos joies ne sont pas les miennes»; tout ce qui remuait en dehors d'eux, toutes les choses qui s'agitaient au-dessous de leur vol étaient bien réellement «enfantines et nuisibles»; ils renouaient «avec le silence», leur «vieil ami»; ils criaient

Quel nombre infini de "beaux mariages" il aurait faits, pour peu que la fantaisie l'eût pris de "se fixer"! Les vieilles misses surtout, celles qui depuis quarante ans séchaient sur pied, rêvaient nuit et jour devant ses photographies. Il est certain qu'il eût trouvé des compagnes par centaines, même s'il leur avait imposé la condition de le suivre dans les airs.

C'était une boutique très propre, juste dans la grande maison ils rêvaient d'habiter autrefois. Il y avait la boutique, une arrière-boutique, avec deux autres chambres,

Il portait une tunique entièrement couverte de pierreries, une merveille, un astre flambant, qui représentait des millions. Et ces dames, pâles, les yeux luisants de convoitise, allongeaient la tête, citaient les autres rois, les autres empereurs qu'on attendait. Toutes rêvaient de quelque caprice royal, d'une nuit payée d'une fortune.

Elles rêvaient le monde, impatientes de franchir ce mur odieux qui leur cachait les joies et les élégances parisiennes. Les barres, la ronde, ah! fi! Songez que, dans trois mois, elles pouvaient être mariées.

Et qui donc l'aurait pu ? Harry et Nell s'aimaient. Les vieux parents ne rêvaient pas d'autre compagne pour leur fils. Les camarades d'Harry enviaient son bonheur, tout en reconnaissant qu'il lui était bien . La jeune fille ne relevait que d'elle-même et n'avait d'autre consentement

Il n'était pas difficile de trouver la place devait avoir lieu le supplice; le peuple y affluait de toutes parts. Dans ce siècle grossier, c'était un spectacle des plus attrayants, non seulement pour la populace, mais encore pour les classes élevées. Nombre de vieilles femmes dévotes, nombre de jeunes filles peureuses, qui rêvaient ensuite toute la nuit de cadavres ensanglantés, et qui s'éveillaient en criant comme peut crier un hussard ivre, n'en saisissaient pas moins avec avidité l'occasion de satisfaire leur curiosité cruelle. Ah! quelle horrible torture! criaient quelques- unes d'entre elles, avec une terreur fébrile, en fermant les yeux et en détournant le visage; et pourtant elles demeuraient

Mot du Jour

l'égaierait

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