Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 24 mai 2025
Plus loin encore, des isbas étaient en construction; des moujiks apportaient sur leurs épaules les troncs de sapin équarris, d'autres les ajustaient. Ici encore, ils ne récolteraient rien avant un an, et les femmes apportaient aux voyageurs des baies rouges et des pommes de hêtre, pour gagner quelques kopecks.
Et c'était sur cette image qu'ils devaient fixer les yeux, dans leur attente mystique du monde nouveau, lorsqu'ils rêvaient de ce temps «où la terre tout entière serait aux moujiks, où ce serait partout Moscou, une universelle Moscou, où ce qui vaut 60 kopecks n'en vaudrait plus qu'un, où le kvass coulerait en abondance sur les places publiques, et où la vodka aurait versé l'oubli, cette fois définitif, des misères passées».
Le sort de ces condamnés, dit le voyageur M. A. Castrén, est plus supportable qu'on ne le croit généralement. Le gouvernement alloue aux simples convicts deux pounds (quarante kilogrammes) de farine et huit francs par mois; ceux qui ont un métier, comme les menuisiers, forgerons, scieurs de long, tailleurs de pierre, reçoivent, outre la provision ordinaire de farine, quinze kopecks (soixante centimes) de salaire par jour de travail. Les ouvriers sont tenus de pourvoir eux-mêmes
Soixante-quinze kopecks, répondit-elle en tournant vers moi ses grands yeux pleins de trouble. Ce n'est pas une fortune; ma mère te donnera un autre porte-monnaie, lui dis-je par manière de consolation. C'est ma tante Mourief qui va être étonnée! s'écria Clémentine en frappant des mains. Quelle surprise. J'adore les surprises.
Le paysan: «Il y en a une paire.» Moi: «Combien la verste?» Le paysan: «Huit kopecks.» Moi: «C'est trop! Six kopecks?» Le paysan: «Que faire? Soit. Dans l'instant.» «Quelques minutes après, les chevaux étaient attelés au traîneau. «D'où êtes-vous? me demanda-t-on.
«Je donnai vite les vingt kopecks et je m'arrêtai devant une hôtellerie, où j'eus assez de peine
«Où vas-tu? me demanda-t-il en s'arrêtant devant moi.» Moi: «A Para.» Le paysan: «Et d'où viens-tu?» Moi: «Du village de Zalivina.» Le paysan: «Veux-tu me donner soixante kopecks, je te mènerai jusqu'
Mais le temps, c'est l'argent, n'oubliez pas cela, dit le colonel. Cela dépend: il y a des mois entiers qu'on donnerait pour 50 kopecks, et des quarts d'heure qu'on ne céderait pour aucun trésor. Est-ce vrai, Katinka? Mais pourquoi parais-tu ennuyée? Je n'ai rien, papa. Où allez-vous? restez encore un peu, dit le prince en s'adressant
Dans la soirée, on avait, pour 10 kopecks, une bouteille d'excellent madère ou de porto de derrière les fagots.
Quand le Tatare eut apporté un compte de 28 roubles et des kopecks, sans oublier le pourboire, Levine, qui, en campagnard qu'il était, se serait épouvanté en temps ordinaire de sa part de 14 roubles, n'y fit aucune attention. Il paya et retourna chez lui, pour changer d'habit et se rendre chez les Cherbatzky, où son sort devait se décider. La jeune princesse Kitty Cherbatzky avait dix-huit ans.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche