Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 7 juillet 2025
Nicolas Cherbatzky, un cousin de Kitty, vêtu d'une jaquette et de pantalons étroits, était assis sur un banc, les patins aux pieds, lorsqu'il aperçut Levine. «Ah! s'écria-t-il, le premier patineur de la Russie, le voil
Stépane Arcadiévitch le comprit, mais le regarda sans mot dire. Levine lui était reconnaissant de n'avoir pas encore parlé des Cherbatzky, et d'avoir deviné, avec son tact ordinaire, que c'était l
En rentrant, Levine questionna son ami sur la maladie de Kitty et les projets des Cherbatzky: il entendit sans déplaisir les réponses d'Oblonsky, sentant, sans oser se l'avouer, qu'il lui restait un espoir quelconque, et presque satisfait que celle qui l'avait tant fait souffrir, souffrit
Et qu'importe que l'auteur de cette révolution, sans effusion de sang, soit Constantin Levine, celui qui est venu en cravate blanche se faire refuser par Mlle Cherbatzky!» Lorsque Levine, livré
«Il doit y avoir en moi quelque chose de répulsif, pensait Levine en sortant de chez les Cherbatzky pour rentrer chez son frère. Je ne plais pas aux autres hommes. On dit que c'est de l'orgueil: je n'ai pas d'orgueil. Me serais-je mis dans la situation où je suis, si j'en avais?» Et il se figurait Wronsky heureux, aimable, tranquille, plein d'esprit, ignorant jusqu'
Quelle idée! c'est sa manière grande dame, répondit Stépane Arcadiévitch. Je viendrai aussi après une répétition de chant chez la comtesse Bonine. Comment ne pas t'accuser d'être sauvage? Explique-moi, par exemple, ta fuite de Moscou? Les Cherbatzky m'ont plus d'une fois tourmenté de leurs questions sur ton compte, comme si je pouvais savoir quelque chose. Je ne sais que ceci, c'est que tu fais toujours ce que personne ne songerait
Rien de plus simple, en apparence, que de demander en mariage la jeune princesse Cherbatzky; un homme de trente-deux ans, de bonne famille, d'une fortune convenable, avait toute chance de passer pour un beau parti, et vraisemblablement il aurait été bien accueilli. Mais Levine était amoureux; Kitty lui paraissait une créature si accomplie, d'une supériorité si idéale, et il se jugeait au contraire si défavorablement, qu'il n'admettait pas qu'on le trouvât digne d'aspirer
Ces craintes empoisonnaient le charme de sa nouvelle vie. Le prince Cherbatzky vint rejoindre les siens avant la fin de la cure; il avait été de son côté
On m'écrit que Kitty Cherbatzky est très malade. Vraiment?» dit Wronsky d'un air sombre. Anna le regarda sévèrement. «Cela vous est indifférent? Au contraire, cela me touche beaucoup. Que vous écrit-on de particulier, s'il m'est permis de le demander?» Anna se leva et s'approcha de Betsy. «Voulez-vous me donner une tasse de thé,» dit-elle en s'appuyant sur sa chaise.
Vers la fin de l'hiver, les Cherbatzky eurent une consultation de médecins au sujet de la santé de Kitty; elle était malade, et l'approche du printemps ne faisait qu'empirer son mal. Le médecin de la maison lui avait ordonné de l'huile de foie de morue, puis du fer, et enfin du nitrate d'argent; mais, aucun de ces remèdes n'ayant été efficace, il avait conseillé un voyage
Mot du Jour
D'autres à la Recherche