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Mis à jour: 10 mai 2025
En 1537, Marguerite regrette avec énergie de n'être pas au camp de son frère: «Car en tous vos affaires où femme peult servir, despuis vostre prison, vous m'avez fait cet honneur de ne m'avoir séparée de vous...» Elle souhaiterait d'être une hospitalière du camp; elle va même plus loin. Naguère, pendant la captivité du roi, elle avait réclamé l'office de laquais auprès de sa litière. A présent elle renoncerait volontiers «le sang réal» pour servir de «chamberiere»
Les renseignemens lumineux qu'avait fournis cette confrontation durent surprendre au dernier point M. Réal. Il s'empressa d'en faire son rapport au premier consul, qui devint rêveur, et qui exprima, par une exclamation de douleur, le regret d'avoir consenti
Rentré chez lui, Napoléon y trouva Talleyrand, Fouché, Roedérer et Réal. Il leur raconta naïvement, avec simplicité, et sans aucun mouvement de physionomie qui pût faire préjuger son opinion, ce que Barras venait de lui dire. Réal et Fouché qui étaient attachés
La faction était encore trop exaspérée pour qu'on pût éviter le tumulte et le désordre. Il fallut opposer la garde nationale aux fédérés, qui ne furent pas contenus sans peine par la masse des citoyens paisibles. Réal, qui avait la direction des fédérés, et que je savais facile
Il me fit entrer aussitôt et parut m'écouter avec la plus grande surprise. Il ne concevait pas pourquoi on avait jugé avant l'arrivée de Réal, auquel il avait donné ordre de se rendre
Ainsi, du milieu d'un suicide interrompu, sortait contre Moreau une dénonciation terrible; dénonciation fort exagérée par le désespoir, mais présentant cependant l'ensemble du complot. M. Réal, stupéfait, courut aux Tuileries. Il trouva, comme d'usage, le Premier Consul s'arrachant de bonne heure au sommeil, pour se livrer au travail. Le Premier Consul était encore dans les mains de son valet de chambre Constant, lorsqu'aux premiers mots de M. Réal, il lui mit la main sur la bouche, le fit taire, et s'enferma seul avec lui pour entendre son récit. Il ne parut point étonné. Cependant il refusa de croire entièrement
A leur embarras, je m'aperçus que je leur imposais encore, et que leur mission était conditionnelle. En effet, Berthier, prenant la parole, me dit d'un air contraint qu'il venait par ordre de l'empereur me demander sa correspondance; qu'il l'exigeait impérieusement; et que, dans le cas d'un refus, il était enjoint au préfet de police Dubois, présent, de m'arrêter et de mettre les scellés sur mes papiers. Réal, prenant le ton persuasif, et me parlant avec plus d'onction, comme
Il se forma d'abord une espèce de conseil privé composé de ses frères, de Berthier, Regnault de Saint-Jean d'Angely, Roederer, Réal, Bruix, et d'un autre personnage qui bientôt l'emporta sur les autres par sa dextérité; je veux parler de M. de Talleyrand, qui, harcelé par le parti du manège, et forcé d'abandonner le ministère, s'en faisait alors un titre dans les nouvelles intrigues. D'abord il craignit de ne pas être accueilli de Bonaparte
Réal, commissaire du directoire près le département de Paris, inspirait plus de confiance
M. Réal eut ensuite avec le premier consul un entretien dont je ne fus pas témoin.
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