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Mis à jour: 7 juin 2025
Prosp. S. Leon. Magn., ap. Il ne paraît pas qu'Attila, dans le cours de ses explications avec le pape et les deux consulaires, ait rien dit de sa fiancée Honoria et de sa volonté de l'avoir pour femme, car Léon lui aurait facilement fait comprendre que, d'après les lois romaine et chrétienne, Honoria, épouse d'un autre, ne pouvait plus être
Carthage et l'Afrique étaient alors sous la domination d'un homme comparable au roi des Huns par sa laideur et son génie, Genséric, roi des Vandales. Ce qu'Attila avait accompli avec tant de promptitude et de bonheur sur les Barbares de l'Europe non romaine, Genséric le tentait sur les Barbares cantonnés dans l'empire, il avait entrepris de les réunir tous en un seul corps soumis
On pense bien qu'Attila, dans sa marche précipitée, ne laissa piller qu'autant qu'il le fallut pour se procurer des vivres. Au passage de la Seine
A cette vue, les Goths entonnèrent un hymne funèbre et enlevèrent le corps sous les yeux des Huns, qui n'essayèrent point de les troubler . Les devins barbares durent faire sonner bien haut l'infaillibilité de leurs pronostics, que l'événement semblait vérifier, car enfin ils avaient annoncé la mort du chef des ennemis; toutefois ce n'était pas sur celle-ci qu'Attila avait compté . Thorismond, guéri de sa blessure, présida aux funérailles de son père, que l'armée visigothe célébra en grande pompe, avec force chants, cliquetis d'armes et cris discordants : il y présida en qualité de roi, car les Goths l'élevèrent sur le pavois en remplacement du roi défunt.
Du côté des Huns, quarante mille guerriers jonchaient la plaine de Cézunmaur, et dans ce nombre les capitaines Béla, Kadicha et Rewa, qui furent inhumés sous la pyramide de Kewe-Haza. Des six chefs militaires qui avaient amené les Huns d'Asie en Europe, il ne restait plus qu'Attila et Buda: Attila est proclamé roi, mais il s'associe son frère,
La Hongrie possédait au XIe siècle ou croyait posséder une bien précieuse relique d'Attila, son épée, qui, disait-on, n'était autre que l'épée de Mars, idole des anciens Scythes, découverte jadis par une génisse blessée, déterrée par un berger et portée au roi des Huns, qui en avait fait son arme de prédilection. «C'était, dit un vieux chroniqueur allemand, le glaive qu'Attila avait abreuvé du sang des chrétiens; c'était le fouet de la colère de Dieu .» On y attachait l'idée d'une force irrésistible et de la domination sur le monde , et les Hongrois, tout bons chrétiens qu'ils étaient, gardaient l'épée de Mars dans leur trésor national presque aussi religieusement que la sainte couronne. Or il arriva que le jeune roi Salomon, fils d'André Ier, ayant été chassé du trône par une révolte des magnats en 1060, et rétabli en 1063 avec l'assistance d'Othon de Nordheim, duc de Bavière, la reine-mère n'imagina rien de mieux, pour prouver sa reconnaissance au duc de Nordheim, que de lui offrir cette épée, qui promettait
Personne n'ignore qu'Attila, c'est M. de Bismark. Du moins, nul doute ne peut nous rester
Je me hâte d'arriver au dénoûment. On ne comprend pas bien, dans les poëmes qui nous restent, comment, après une preuve si peu douteuse de son mauvais vouloir pour lui, Attila put garder encore Gudruna, et non-seulement la garder, mais l'aimer et désirer son amour. Les scaldes, il est vrai, ont soin de nous la peindre comme étant d'une beauté merveilleuse: «Elle avait, dit l'auteur de l'Atla-Quida, la blancheur du cygne, et quand elle circulait autour des tables du festin, faisant l'office d'échanson, on l'eût prise pour une déesse.» Enfin, il était dit, dans la donnée épique, qu'Attila serait aveugle dans son affection, afin que Gudruna pût couronner sa vengeance par un suprême attentat. En effet, elle le flatte, elle l'enivre de fausses caresses. «Souvent, dit le poëme déj
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