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Mis à jour: 28 juin 2025
Remarquez que les écrivains, comme les comédiens, finissent souvent par se laisser aller agréablement sur cette pente de la réclame. On s'habitue au tapage; on a sa ration de publicité tous les matins, et l'on s'attriste, quand on ne trouve plus son nom dans les journaux. Il est très possible qu'on ait gâté madame Sarah Bernhardt comme tant d'autres, en lui donnant l'habitude de voir le monde tourner autour d'elle. Mais, dans ce cas, elle est une victime et non une coupable. Paris a toujours eu de ces enfants gâtés qu'il comble de sucre, dont il veut connaître les moindres gestes, qu'il caresse
M. de Cazalès, indigné, insista sur la nécessité de donner la plus grande publicité
Bénédict, qui avait un caractère âpre et sceptique, un de ces esprits mécontents et frondeurs si incommodes aux ridicules et aux travers de la société, prétendait (c'était sans doute un de ses paradoxes) qu'il n'est point d'inconvenance plus monstrueuse, d'usage plus scandaleux que la publicité qu'on donne au mariage. Il n'avait jamais vu, sans la plaindre, passer au milieu de la cohue d'une noce cette pauvre jeune fille qui a presque toujours quelque amour timide dans le cœur, et qui traverse l'insolente attention, les impertinents regards, pour arriver dans les bras de son mari, déflorée déj
Par l'accaparement de la publicité, en France et en Angleterre, les alliés avaient pu jusqu'alors refaire l'histoire
Je vous prie de me renvoyer ces pièces, qui ne doivent recevoir aucune publicité. Je joins aussi la copie de ma réponse, que vous voudrez bien me renvoyer après l'avoir lue, parce que je n'en ai pas gardé d'autre. J'espère que vous l'approuverez. Je vous renouvelle tous mes sentiments. 6° M. le vicomte de Chateaubriand
Depuis le matin, la cohue augmentait. Aucun magasin n'avait encore remué la ville d'un tel fracas de publicité. Maintenant, le Bonheur dépensait chaque année près de six cent mille francs en affiches, en annonces, en appels de toutes sortes; le nombre des catalogues envoyés allait
La grande puissance était surtout la publicité. Mouret en arrivait
Je ne croirai pas manquer aux convenances, en donnant toute la publicité possible
Un dernier mot, monsieur. Comme vous avez été de moitié dans mon oeuvre par l'immense publicité que vous lui avez donnée, je crois pouvoir vous instruire d'un résultat dont vous vous féliciterez, je l'espère, avec moi.
Après dix ans de travail solitaire, acharné, enragé, sans publicité, presque sans relations, un jour un de nos amis, M. de Chennevières, vint nous dire que la maîtresse d'un des grands salons de Paris, ayant lu nos livres, désirait nous connaître. C'était la première fois qu'un salon s'ouvrait devant nos titres littéraires. Il y avait presque quatre ans que nous n'avions mis d'habit. Nous allâmes dans ce salon, dans le salon de cette femme, une artiste qui est coupable d'être née princesse. Nous y trouvâmes toutes les libertés et presque toutes les intelligences, des artistes et des hommes de lettres comme nous, des philosophes, des savants, des poètes: M. Renan et M. Berthelot, M. Claude Bernard et M. Taine, M. Sainte-Beuve et M. Bertrand, M. Théophile Gautier, M. Gustave Flaubert, M. Paul de Saint-Victor, M. Dumas fils, M.
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