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Mis à jour: 14 juin 2025


Laissez-moi prier seule et promenez-vous sous les grands arbres du bois sans trop vous éloigner.

Vraiment? Mais vous êtes la perfection même... Au reste, je ne joue pas non plus... C'est bête de jeter son argent au vent... de perdre sûrement... Entrez pourtant dans la salle, rien que pour regarder les têtes... Il y en a de très drôles... Il y a une vieille dame qui porte une ferronnière et qui a des moustaches!... L'ensemble est délicieux! Il y a aussi un prince russe il est beau dans son genre... Une figure majestueuse, le nez recourbé comme un bec d'aigle, et quand il risque un thaler, il fait le signe de la croix sous son gilet... Enfin, lisez les journaux... Promenez-vous, faites ce que bon vous semble... Seulement n'oubliez pas qu'

Et même cela serait fort drôle... répondit-elle avec un sourire amer. Dites-moi quelque chose. Promenez-vous dans la chambre et parlez. Ne restez pas près de moi et ne me regardez pas, je vous en prie pour la centième fois! Chatoff se mit

FLAVIUS, aux serviteurs. Promenez-vous, je vous prie, près d'ici; je vous parlerai dans un moment. TIMON. Vous m'étonnez fort! Pourquoi ne m'avez-vous pas exposé plus tôt l'état de mes affaires? J'aurais pu proportionner mes dépenses

Comment, monsieur l'ambassadeur, dit-elle, est-ce que votre maître ne me croit pas assez riche ni assez belle? Promenez-vous dans mes

«Vous promenez-vous, frère? dit Dennis. Oui! répliqua Hugh, vous voudrez. Voil

DIONYSA. Je vous laisse pour un moment, ma chère Marina: promenez-vous doucement, ne vous échauffez pas le sang. Je dois avoir soin de vous. MARINA. Je vous remercie; ma chère dame. L

Pourquoi cela? et quel droit avez-vous de m'empêcher de me promener dans la rue? Pourquoi vous y promenez-vous, dans cette rue? Parbleu, la belle demande! parce que cela me plaît. Ah! cela vous plaît. Sans doute; vous vous y promenez bien, vous! avez-vous licence du roi de fouler seul le pavé de la rue de Bussy? Que j'aie licence ou non, peu importe.

Le premier consul sortit un jour de grand matin, vêtu de sa redingote grise et accompagné du général Duroc, pour se promener du côté de la machine de Marly. Comme ils marchaient en causant, ils virent un laboureur qui traçait un sillon en venant de leur côté. Dites donc, mon brave homme (dit le premier consul en s'arrêtant), votre sillon n'est pas droit, vous ne savez donc pas votre métier? Ce n'est toujours pas vous, mes beaux messieurs, qui me l'apprendrez; vous seriez encore assez embarrassés pour en faire autant. Parbleu non! Vous croyez: eh bien! essayez, reprit le brave homme en cédant sa place au premier consul. Celui-ci prit le manche de la charrue, et, poussant les chevaux, voulut commencer la leçon; mais il ne fit pas un seul pas en droite ligne, tant il s'y prenait mal. Allons, allons, dit le paysan en mettant sa main sur celle du général, pour reprendre sa charrue, votre besogne ne vaut rien: chacun son métier; promenez-vous, c'est votre affaire. Mais le premier consul ne continua pas sa promenade sans payer la leçon de morale qu'il venait de recevoir du laboureur: le général Duroc lui remit deux ou trois louis pour le dédommager de la perte de temps qu'on lui avait causée. Le paysan, étonné de cette générosité, quitte sa charrue pour aller conter son aventure, et rencontre en chemin une femme

Promenez-vous de dix

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