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Mis à jour: 15 mai 2025


»Tu as bien compris? »Ah! mais, dis donc, me prends-tu pour un cornichon? Je ne leur laisserai pas seulement le temps de chercher des yeux.

Je le ferais de grand cœur, Madame... répondit la Porporina. Quelle dame? prends-tu ici cette Madame, interrompit gaiement la princesse.

Démétrios se passa la main sur le front; puis, avec le ton dégagé d'un homme qui daigne faire son choix, il murmura: «Montre-moi le chemin. Mais je ne veux pas! dit Chrysis d'un air stupéfait. Tu ne me demandes même pas si c'est mon plaisir. «Montre-moi le cheminComme il dit cela! Me prends-tu pour une fille du porneïon, qui se met sur le dos pour trois oboles sans regarder qui la tient?

AUGUSTE Comment cela, vieil égoïste? me prends-tu pour un sauvage? Tu apprendras que j'ai vu des dames jaunes en Chine, des dames vertes

Il faudra cela rien que pour les vins, interrompit-il. Me prends-tu pour un sot? Mais, tiens, ne comptons pas. Fais comme faisaient tes parents quand ils faisaient le mieux, et si c'est bien, je ne me plaindrai pas de la dépense. Prends une bonne cuisinière, loue un garçon qui sache bien servir

GLOCESTER. Me prends-tu donc pour un bourreau? LE ROI. Je te connais pour un persécuteur: mettre

Il n'y a pas de contes de fées ces niaiseries ne soient rebattues. Me prends-tu pour un oncle du Gymnase? Ils sortent. Au château. LA BARONNE, C

Cadavre toi-même! s'écria le carrosseux en avalant une nouvelle rasade. Me prends-tu pour un revenant? Et si, je reviens de loin; mais me voil

Personne ne dormait encore. La jeunesse avait soupé en revenant du théâtre, et s'était groupée autour du piano. Lorsque Nicolas entra dans la salon, il se sentit pénétré par ces effluves d'amour pleines de poésie qui régnaient dans leur maison, et qui semblaient, après la déclaration de Dologhow et le bal de Ioghel, s'être concentrées, comme avant l'orage, sur la tête de Sonia et de Natacha. Vêtues de bleu toutes les deux, et telles qu'elles avaient paru au théâtre, jolies, gentilles, et s'en rendant bien compte, elles riaient et causaient auprès du piano. Véra et Schinchine jouaient aux échecs dans le salon. La comtesse, en attendant le retour de son mari et de son fils, faisait «une patience» que suivait avec attention une vieille dame, noble et pauvre, qu'ils avaient recueillie. Denissow, les yeux brillants, les cheveux ébouriffés, assis au piano, un pied rejeté en arrière, tapait les touches de ses gros doigts, et plaquait des accords, en roulant les yeux et en cherchant, de sa petite voix enrouée, mais juste, un accompagnement au quatrain qu'il venait de composer en l'honneur de la Magicienne: «Magicienne, prends-tu l'invincible pouvoir D'éveiller dans mon coeur les notes endormies? Oh, dis-le-moi, d'où vient la flamme qui, ce soir,

LOUISE, étonnée. prends-tu donc tout ce que tu dis-l

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