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Mis à jour: 27 juin 2025
Quelle pitié! moi aussi j'ai été orphelin. C'est égal, tu es un brave petit marmot; tu voudrais être marin, ça mérite quelque chose. Si j'étais capitaine, moi, je te prendrais tout de même; seulement je ne le suis pas et ne peux rien faire pour toi; mais je reviendrai un jour, et tu auras peut-être grandi. En attendant, garde ça comme souvenir;
Il se peut, répondait ma mère. Mais, si Miraut faisait gras le vendredi saint, je m'imaginerais qu'il est juif et je le prendrais en horreur. Est-ce l
Eh bien, si j'étais sûre qu'un peintre de talent me fît comme je suis, je prendrais bien un bain pour avoir mon image. Elle rougit et voulut battre en retraite, mais M. Marmont ne laissa pas tomber sa parole dans l'eau. Il se hâta de lui dire qu'elle était de la pâte des déesses qui n'ont peur de rien.
Oh! absolument, d'abord ça n'est pas un événement dont je prendrais plaisir
Un sourire triste vint aux lèvres de l'Irlandaise. Je ne sais pas, dit-elle. Nous sommes pauvres aujourd'hui, peut-être le serons-nous longtemps encore. Il est si gentil, poursuivit mistress Fanoche, que je le prendrais volontiers pour rien, pour l'amour de Dieu et de notre chère Irlande, ajouta-t-elle avec un enthousiasme hypocrite.
Voici la chose: J'avais été arrêtée, dans un bureau de placement, par une sorte de grosse gouvernante, pour être femme de chambre chez un certain M. Rabour, en Touraine. Les conditions acceptées, il fut convenu que je prendrais le train, tel jour,
M. GEORGEY. Et jé voulais toi prendrais une année encore, et alors toi pouvais rétourner avec Master et Madame Bonarde. Ça était mieux qué faire des dessinations, des fabrications comme jé voulais. Eux tout seuls, tout tristes, eux t'aimer beaucoup fort; toi heureuse chez Madme Bonarde; moi laisser
Il est malsain de vivre sans femme, pour un homme qui a, comme lui, le cou court et les mains velues. Celui qui se croit le droit de plaisanter doit savoir se défendre. A votre place, je prendrais une épée. Si on vous a dit que j'étais un soldat, c'est une erreur, je suis un pauvre amant de la science. Votre esprit est une épée acérée, mais flexible.
Oui, ma biche. Tu y viens donc? Je vous apporte la fortune, mais n'espérez pas m'égorger; vous aurez un quart dans les bénéfices, pas un liard de plus, car je garde votre fafiot, et je le rangerai dans un endroit où personne ne le retrouvera, pas toi plutôt que les autres. Il y a bien le cas où tu me le prendrais de force
LOUISE. Si fait! vous disiez que l'endroit est triste? Il est effrayant! ROXANE. Oh! effrayant! ne parle pas de ça! Il y revient certainement!... Heureusement, ce soir, il y aura du bruit, de la gaieté; mais, la nuit dernière... Ah! je ne veux pas te le dire, tu prendrais peur aussi. LOUISE. Peur? Non, ma tante, je ne crois pas aux revenants, moi!
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