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Mis à jour: 23 juin 2025


Un potier d'étain qui s'appelait Pollard et un charcutier nommé Gilbert présentaient quinze cents bouchers et charcutiers de la ville et des faubourgs. Maître Nicolas Poulain, l'ami de Chicot, offrait tout et tout le monde.

Je peux dire que tout le monde me fit bonne mine. Comme c'était moi qui faisais la distribution du son, de l'avoine et du foin, on me faisait la cour pour avoir la bonne mesure. M. Potier me grondait quand il trouvait du son dans les auges. «Mes chevaux sont trop gras, je vais y veiller pour que cela n'arrive plus; il ne faut pas leur faire la ration aussi forte. Donnez-moi la mesure du son et de l'avoine, je m'y conformerai; ils prennent des corbeilles et vont au moulin les remplir. Maintenant ils n'y mettront pas les pieds, toutes les distributions seront

Il y avait trois étables les porcs couraient grand risque d'être noyés, vu qu'ils étaient sous voûte. M. Potier me fait venir et me donne une pince du moulin, et me dit: «Tâchez de délivrer les cochons. Soyez tranquille, je vais de suiteEt me voil

Ces messieurs furent si contents de la loyauté de mon maître que le président en fit part au ministre de la guerre. Celui-ci fit appeler M. Potier pour lui proposer une commande de deux cents chevaux pour le train d'artillerie: «Voil

Cela rappelle un vaudeville joué autrefois par le célèbre acteur Potier les Inconvénients de la diligence. Un voleur a établi

Quatre jours après, vers cinq heures et demie du matin, M. Beauquesne, l'abbé Crozes, M. Claude et M. Potier, greffier de la Cour impériale, entrèrent dans la cellule. Réveillé, M. de La Pommerais,

Le duc de Fitzjames avait adopté le costume de Potier et, les poches pleines de couteaux, en donnait

M. Potier me dit: «Vous gagnerez dix-huit francs par mois et les profits: trois francs par cheval. Monsieur et madame, combien je vous remercie! Si vous vous étiez noyé en sauvant notre cochon! Vous avez mérité cette récompenseJe me vois habillé comme le maître de la maison. Dieu! que j'étais fier! Je n'étais plus le petit Morvandiau.

«En vain de jeunes acteurs ont essayé de doubler les rôles créés par l'inimitable Potier; quoiqu'ils montrent beaucoup de talent dans d'autres pièces, ils ne sont que la caricature du farceur par excellence; il semble que le privilége de copier certains personnages lui soit exclusivement accordé. Ce théâtre est donc sa vraie place, parce qu'il s'y trouve éminemment favorisé par les alentours; et son émigration lui est aussi préjudiciable qu'

Mon maître se promenait avec le général qui me fit appeler: «C'est vous, me dit-il, qui êtes désigné pour monter ces chevaux, nous allons voir cela. Je suis difficile. Soyez tranquille, général, lui dit M. Potier, il connaît son affaire. Eh bien,

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