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Mis à jour: 23 juillet 2025


Eh bien, c'est pour mon affaire, vous savez, pour cette maudite concession.... Je suis même content que Du Poizat soit l

Oh! si vous vouliez, murmura Du Poizat avec un sourire mince, vous mèneriez Marsy fort loin. Vous avez bien ici quelques papiers qu'il achèterait cher.

«On peut fumer, puisqu'on déménage, dit-il en s'installant de nouveau dans le fauteuil. C'est gai, de déménagerRougon s'absorbait dans une liasse de papiers, qu'il lisait avec une attention profonde. Il les triait soigneusement, brûlant les uns, conservant les autres. Du Poizat, la tête renversée, soufflant du coin des lèvres de légers filets de fumée, le regardait faire. Ils s'étaient connus quelques mois avant la révolution de Février. Ils logeaient alors tous les deux chez Mme Mélanie Correur, hôtel Vaneau, rue Vaneau. Du Poizat se trouvait l

Comme le président du tribunal de commerce entrait et s'inclinait devant lui, il s'écria d'une voix affable: «Vous êtes seul, monsieur le président? J'espère bien que vous amènerez madame au banquet, ce soir...» Il s'arrêta, en voyant autour de lui l'embarras des figures. Du Poizat le poussait légèrement du coude.

Tout en se débarbouillant, le ministre demanda au préfet des détails sur le pays, les histoires des fonctionnaires, les besoins des uns, les vanités des autres. Il voulait pouvoir trouver pour chacun une phrase aimable. «N'ayez pas peur, je vous souffleraidit Du Poizat en riant. Et, en quelques mots, il le mit au courant, il le renseigna sur les personnages qui l'approcheraient.

«Vous voulez un conseil, n'est-ce pas? dit-il enfin d'une voix rude. Eh bien, faites les morts, mes bons amis; tâchez que les choses restent en l'état, et attendez que nous soyons les maîtres.... Du Poizat va donner sa démission, parce que, s'il ne la donnait pas, il la recevrait avant quinze jours. Quant

«Allons donc! criait Du Poizat, il nous fait tous poser! il nous entend très bien. Regardez ses oreilles, le soir; on les voit s'élargir.» A dix heures et demie, lorsqu'ils se retiraient tous ensemble, c'était le sujet de conversation habituel. Il n'était pas possible que le grand homme ignorât le dévouement de ses amis. Il jouait au Bon Dieu, disait encore l'ancien sous-préfet.

Du Poizat, resté debout, approuvait de la tête. Il dit enfin, sans regarder Rougon, comme s'il n'eût pas été l

«Alors, ça vous est venu tout d'un coup, vous n'y songiez pas, dit Clorinde en souriant. Il fallait vous marier en même temps que nous. Nous serions allés ensemble en ItalieEt elle le questionna, tout en plaisantant. C'était son ami Du Poizat qui avait eu sans doute cette belle idée?

Et il tâcha d'expliquer ses aspirations, une conception socialiste très compliquée, l'extinction du paupérisme, l'association de tous les travailleurs, quelque chose comme sa ferme-modèle de la Chamade, en grand. Du Poizat disait d'ordinaire qu'il avait trop fréquenté les bêtes.

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