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Mis à jour: 31 mai 2025
Oh! je ne sais si ça lui plairait, je ne le connais ... qu'
Celui qui m'appelle curieux et amoureux d'amour lointain dit la vérité; car nulle autre joie ne me plairait autant qu'une joie qui viendrait de cet amour de loin. Mais mes désirs sont irréalisables; car ma destinée est d'aimer sans être aimé .
Blunderstone la Rookery devait cependant, en dépit des efforts de Peggotty, apparaître devant moi, lorsque cela plairait au cheval du voiturier. Je le vis enfin, comme je me le rappelle bien encore, par cette froide matinée, sous un ciel gris qui annonçait la pluie! La porte s'ouvrit; moitié riant, moitié pleurant, dans une douce agitation, je levai les yeux pour voir ma mère.
Enfin, un compromis était intervenu entre le duc et sa femme, par lequel celle-ci lui permettait de faire autant de galanteries qu'il lui plairait, pourvu qu'il vînt les lui raconter. Une de ses amies lui disait un jour qu'elle ne comprenait point qu'elle donnât
Et il parla gaiement des jeunes filles, ces petites princesses, ces petites duchesses, élevées si discrètement au Sacré-Cœur, d'ailleurs si ignorantes pour la plupart, achevant leur éducation ensuite dans les jupons de leurs mères, ne faisant avec elles que le tour obligatoire du Corso, vivant les interminables jours cloîtrées, emprisonnées au fond des palais sombres. Mais quelles tempêtes dans ces âmes muettes, où personne n'était descendu! quelle lente poussée de volonté parfois, sous cette obéissance passive, sous cette apparente inconscience de ce qui les entourait! Combien entendaient obstinément faire leur vie elles-mêmes, choisir l'homme qui leur plairait, l'avoir malgré le monde entier! Et c'était l'amant cherché et élu, parmi le flot des jeunes hommes, au Corso; c'était l'amant pêché des yeux pendant la promenade, les yeux candides qui parlaient, qui suffisaient
Il s'agissait de détruire maintenant tout l'échafaudage du papier-monnaie. Il fallait pour cela que le cours n'en fût plus forcé, et que l'impôt fût reçu en valeur réelle. On déclara donc, le 28 messidor (16 juillet), que tout le monde pourrait traiter comme il lui plairait, et stipuler en monnaie de son choix; que les mandats ne seraient plus reçus qu'au cours réel, et que ce cours serait tous les jours constaté et publié par la trésorerie. On osa enfin déclarer que les impôts seraient perçus en numéraire ou en mandats au cours; on ne fit d'exception que pour la contribution foncière. Depuis la création des mandats on avait voulu la percevoir en papier, et non plus en nature. On sentit qu'il aurait mieux valu la percevoir toujours en nature, parce qu'au milieu des variations du papier, on aurait au moins recueilli des denrées. On décida donc, après de longues discussions, et plusieurs projets successivement rejetés chez les anciens, que, dans les départemens frontières ou voisins des armées, la perception pourrait être exigée en nature; que dans les autres elle aurait lieu en mandats aux cours des grains. Ainsi, on évaluait le blé en 1790
Dans ce pays, les filles, en général, avaient très peu de dot; tout jeune homme admis dans une maison pouvait concourir pour obtenir la jeune fille qui lui plairait davantage et de laquelle il serait agréé. L'admission dans une société ne se faisait pas
Le magicien africain ne douta pas que ce ne fût la lampe qu'il cherchait; il ne pouvait pas y en avoir d'autres dans le palais d'Aladdin, où toute la vaisselle n'était que d'or ou d'argent: il la prit promptement de la main de l'eunuque, et après l'avoir fourrée bien avant dans son sein, il lui présenta son panier, et lui dit de choisir celle qu'il lui plairait. L'eunuque choisit; et près avoir laissé le magicien, il porta la lampe neuve
Les juges demeurèrent graves et silencieux, m'écoutèrent avec condescendance, et me donnèrent le temps de dire tout ce qui me plairait; mais n'y disant ni oui ni non, prononcèrent contre moi la sentence de mort: sentence qui me parut la mort même, et qui me confondit; je n'avais plus d'esprits en moi; je n'avais point de langue pour parler, ni d'yeux pour les lever vers Dieu ou les hommes.
Ce serait trop simple, sans doute, de nous apprendre uniquement ce qu'il est indispensable de savoir aujourd'hui: les langues vivantes, et de nous laisser nous instruire nous-mêmes en lisant les livres qui nous plairaient, et comme il nous plairait...Qu'est-ce que je saurai, quand je sortirai du collège, moi qui ne serai pas riche, moi qu'on vole pendant que je traduis le De officiis, moi qui dépense ici, inutilement, de l'argent dont j'aurai tant besoin, bientôt? Qu'est-ce que je connaîtrai de l'existence, de cette existence qu'il me faudra conquérir, seul, jour par jour et pied
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