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«Cela m'arrive bien souvent, mon amie, que ma bouche dise une parole quand mon cerveau en dit une autre. Plaignez-moi, et pardonnez-moi. Je suis malade, et vous aviez raison, la vie que je mène est détestable.

C'est moi qui, plus brave que tous les prétendus amis, j'excepte M. de Guiche, vous ai fait revenir de Londres; c'est moi qui vous fournis les preuves douloureuses, mais nécessaires, qui seront votre guérison, si vous êtes un courageux amant et non pas un Amadis pleurard. Ne me remerciez pas: plaignez-moi même, et ne servez pas moins bien le roi. Raoul sourit avec amertume.

Pendant la maladie du roi son père, Frédéric termine ainsi une lettre du 23 mars 1740: «Si je change de condition, vous en serez instruit des premiers. Plaignez-moi, car je vous assure que je suis effectivement

"Plaignez-moi, pensez

...................................... ...................................... ...................................... ...............Le cafard.............. ...................................... ...................................... ...................................... Plaignez-moi, car j'en vaux la peine.

«Adieu, j'ai la tête en feu; cette pensée rétrospective sur ces années passées me fait l'effet d'un songe douloureux. «Que pensez-vous de tout ceci? répondez-moi, conseillez-moi, plaignez-moi.

Vous voyez que Monsieur Dompierre est encore loin d'épouser ma petite sœur!... Ah! ah! dit-elle, je suis bien malheureuse, plaignez-moi, monsieur Lovely! Elle avait pris les mains du vieillard; elle les baisait, dans son besoin de trouver un appui, et elle pleurait très sincèrement.

«Plaignez-moi, ne me méprisez pas. Puisque je n'ai pu parler devant vous, je mourrai muet. Si mon nom est écrit dans un coin de votre coeur, quelque faible, quelque décolorée qu'en soit l'empreinte, ne l'effacez pas. Je puis embrasser une fille galeuse et ivre-morte, mais je ne puis embrasser ma mère. «Aimez ceux qui savent aimer, je ne sais que souffrir.

Plaignez-moi d'être forcée de vous affliger, de vous offenser, peut-être, en un moment je voudrais donner ma vie pour vous rendre le bonheur et la santé.

«J'ai pleuré d'attendrissement, mon cher cœur, en lisant votre lettre. Oh! ne croyez pas que je vous oublie, votre amitié est écrite dans mon cœur en traits effaçables, elle est ma consolation avec mes enfants que je ne quitte plus. J'ai plus que jamais bien besoin de l'appui de ces souvenirs et de toute mon courage, mais je me soutiendrai pour mon fils, et je pousserai jusqu'au bout ma pénible carrière; c'est dans le malheur surtout qu'on sent tout ce qu'on est; le sang qui coule dans mes veines ne peut mentir. Je suis bien occupée de vous et des vôtres ma tendre amie, c'est le moyen d'oublier les trahisons dont je suis entourée; nous périrons plutôt par la faiblesse et les fautes de nos amis que par les combinaisons des méchants, nos amis ne s'entendent pas entre eux et prêtent le flanc aux mauvais esprits, et, d'un autre côté, les chefs de la Révolution, quand ils veulent parler d'ordre et de modération, ne sont pas écoutés. Plaignez-moi, mon cher cœur, et surtout aimez-moi; vous et les vôtres je vous aimerai jusqu'