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Mis à jour: 29 juin 2025
[Note 22: On comprend sans peine que Justine ne figure guère sur les catalogues des livres publiés en France; un exemplaire de l'édition de 1791, 2 vol. in-8º (gravures ajoutées), se montra cependant au catalogue Pixérécourt, numéro 1239, mais il ne passa pas aux enchères. Nous trouvons aussi les dix volumes sur le catalogue de la bibliothèque (non destinée
Tous les dimanches, Nodier déjeunait chez Pixérécourt. L
Cet égout, ces rencontres, ces complications, ces dénoûments, ressemblent infiniment trop au boulevard du Crime. Le roman finit en mélodrame souterrain. C'est du Pixerécourt, mais toujours écrit par le génie du grand écrivain qui, comme sa lanterne sourde, le suit partout.
Eh bien, dois-je me jeter entre ses bras, l'étrangler sur mon coeur en criant: «Mon père! mon père!» comme dit M. Pixérécourt? Ne plaisantons pas, répondit gravement Bertuccio, et qu'un pareil nom ne soit pas prononcé ici comme vous osez le prononcer. Bah! fit Andrea un peu étourdi de la solennité du maintien de Bertuccio, pourquoi pas?
Les recherches durèrent trois ans. Tous les dimanches, le marquis de Chalabre, en déjeunant avec Nodier chez Pixérécourt, lui disait: Eh bien! cette Bible, mon cher Charles.... Eh bien? Introuvable! Quoere et invenies, répondait Nodier. Et, plein d'une nouvelle ardeur, le bibliomane se remettait
Pixérécourt, c'était la grande admiration de Nodier, qui a toujours adoré le mélodrame. Nodier appelait Pixérécourt le Corneille des boulevards. Presque tous les matins, Pixérécourt venait rendre visite
Le marquis de Ganay, esprit changeant, amateur capricieux, amoureux d'un livre comme un roué du temps de la Régence était amoureux d'une femme, pour l'avoir; puis, quand il l'avait, fidèle un mois, non pas fidèle, enthousiaste, le portant sur lui, et arrêtant ses amis pour le leur montrer; le mettant sous son oreiller le soir, et se réveillant la nuit, rallumant sa bougie pour le regarder, mais ne le lisant jamais; toujours jaloux des livres de Pixérécourt, que Pixérécourt refusait de lui vendre
La France f... a paru sur divers catalogues de vente (Saint-Mauris, Baillet, etc.). Nous la rencontrons aussi dans deux collections qui n'ont pas été dispersées, celles de Leber (nº 5016) et de Pixérécourt (page 368 du catalogue de 1839). Il en a été publié il y a quelques années une réimpression tirée
N'importe! disait Pixérécourt furieux, je l'aurai. Quoi? demandait le marquis de Ganay. Votre autographe. Et quand cela? À votre mort, parbleu! Et Pixérécourt eût tenu sa parole si le marquis de Ganay n'eût jugé
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