Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 7 juillet 2025
De couleur grisâtre moucheté de brun, monté sur deux pattes fort courtes, qu'on jugerait incapables de porter le poids de son corps, l'animal avait vingt pieds de longueur, autant de grosseur et la figure générale d'un poisson, sauf la tête, ovale; garnie aux coins de la gueule de soies piquantes et armée de deux défenses, comme celles d'un éléphant».
M. le conseiller Wesque de Putlingen, qui publie ses oeuvres sous le pseudonyme de Hoven, m'a fait passer de bien douces heures en chantant ses lieder d'un tour mélodique si heureux et si plein d'humour, et accompagnés d'harmonies si piquantes. J'ai remarqué les mêmes qualités dans les fragments de deux opéras de sa composition que je n'ai pu malheureusement entendre qu'au piano.
Le final est au moins aussi riche que les morceaux précédents en nouvelles combinaisons, en modulations piquantes, en caprices charmants. Le thême offre quelques rapports avec celui de l'ouverture d'Armide, mais c'est dans l'arrangement des premières notes seulement, et pour l'œil plutôt que pour l'oreille; car
Ce capitaine Bonin aimait éperdument madame DeBoismorel; il avait même demandé sa main, mais la jeune veuve s'était cruellement moquée de lui. Il saisissait donc cette occasion pour humilier son heureux rival. Peu d'instants après cet échange de paroles piquantes, le lieutenant DeBeauregard quitta discrètement le Château Saint-Louis.
Ces pièces, d'un travail excellent au point de vue du mécanisme et des difficultés spéciales, sont toutes remarquables par le choix de la pensée musicale, la variété et la contexture des traits, enfin par les harmonies ingénieuses et piquantes qui en rehaussent le ton et leur donnent une couleur énergique, expressive et dramatique. L'œuvre de compositeur de Moschelès est considérable.
Mais en 1826, en pleine Restauration, sans nécessité, il me semble, et même au risque de troubler des âmes en faisant connaître davantage un livre qu'il réprouvait, il donne lui-même une réédition de l'Essai sur les Révolutions. Il y met une habile préface où il explique dans quelles conditions l'ouvrage a été écrit, où il en montre les contradictions et où il exagère quelque peu ce qui s'y trouve encore de christianisme. Il accompagne le texte de notes très nombreuses et fort plaisantes. Il se critique, se réfute, se condamne, se gourmande et se raille avec beaucoup de bonne grâce et un air de charmante franchise. Il a, sur sa vanité et sa fatuité de jeune homme, des réflexions piquantes (qui d'ailleurs s'appliqueraient encore mieux
Et quand elle cherchait les raisons d'un si profond sentiment, elle ne les trouvait point. Elle disait: «Ce n'est sûrement pas l'effet de mes charmes, qui n'existaient plus lorsque tu m'as connue, qui t'a fixé auprès de moi; ce n'est pas non plus tes manières de Huron, ton air distrait et bourru, tes saillies piquantes et vraies, ton grand appétit et ton profond sommeil quand on veut causer avec toi, qui t'ont fait aimer
Chemin faisant, les deux Français étaient revenus au sujet principal de leur entretien, l'Amérique. Le voyageur avait repris le cours de ses admirations, que le solitaire combattait par des réflexions sages, quelquefois même par de piquantes railleries... Ils passèrent ainsi en revue tous les objets qui, dans la société américaine, attirent les regards de l'étranger.
Le général Quesnel. 11 Février 1815. Un jeune officier que j'avais connu dans les campagnes d'Italie et d'Allemagne m'avait singulièrement frappée, quoique dans de courtes apparitions, par l'éclat d'une galanterie spirituelle et chevaleresque. Ce n'est pas un médiocre éloge que d'avoir excité l'involontaire attention d'une femme dont le cœur était si grandement occupé, et dont les regards ne pouvaient tomber dans les jeunes états-majors que sur des mérites. Cet officier que j'avais le plus distingué parmi ceux qui avaient seulement passé sous mes yeux comme aimables, s'appelait Quesnel. Par une des plus piquantes singularités de ces temps, une liaison commencée
Mon premier mouvement fut d'empêcher ce méchant Auguste de me monter; mais je formai un autre projet, qui complétait sa journée et qui servait mieux mon aversion et ma méchanceté. Je me laissai donc tranquillement enfourcher par mon ennemi, et je suivis de loin le poney. Si Auguste avait osé me battre pour me faire marcher plus vite, je l'aurais jeté par terre; mais il connaissait l'amitié qu'avaient pour moi tous mes jeunes maîtres, et il me laissa aller comme je voulais. J'eus soin, tout le long du bois, de passer tout près des broussailles et surtout des grandes épines, des houx, des ronces, afin que le visage de mon cavalier fut balayé par les branches piquantes de ces arbustes. Il s'en plaignit
Mot du Jour
D'autres à la Recherche