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Mis à jour: 27 juillet 2025
L'intérieur de la famille Marteau était patriarcal. La grand'mère, matrone pleine de vertus et d'obésité, était assise près de la cheminée et tricotait un bas gris. C'était une excellente femme, un peu sourde, mais encore gaie, qui de temps en temps plaçait son mot dans la conversation, tout en ricanant sous les lunettes sans branches qui lui pinçaient le nez. La mère était une ménagère sèche et discrète, active, silencieuse, absolue, sujette
Un vilain singe au plus, inoffensif et vulgaire. Les femmes se pinçaient, choquaient leurs genoux, se cachaient derrière leurs serviettes, et l'un de ces messieurs étreignit si fort la cuisse de son voisin, que celui-ci bondit de douleur. Oui, on souffrait, et Mme Bornet se montra femme de tact quand elle dit sèchement: Mon pauvre ami, tu n'y es pas! M. Bornet s'arrêta.
Le petit capucin, qui avait les yeux enfoncés sous d'épais sourcils roux, un profil pointu dur et sans barbe, m'adressa d'un coup de tête vif, un salut dédaigneux qui me donna l'envie de le faire jeter sur la route: les jeunes négresses, derrière lui, riaient, chuchotaient, se pinçaient le derrière ou se heurtaient du coude.
Elles bavardaient avec animation, riaient, se pinçaient, se parlaient
Madame est mariée? Sans doute... Ah!... Et madame a des enfants? Certainement... Des chiens? Oui... Madame fait veiller la femme de chambre? Quand je sors le soir... évidemment... Et madame sort souvent le soir? Ses lèvres se pinçaient... Elle allait répondre.
Les deux vieilles se regardèrent. Toutes trois hochèrent la tête sans parler. Bien sûr, ce n'était pas toujours amusant. Nana s'était renversée de nouveau, allumant encore une cigarette, pendant que les autres pinçaient les lèvres par discrétion, pleines de philosophie.
Trois années se passèrent. On se fâcha et on se raccommoda encore plusieurs fois. Gervaise se moquait pas mal des Lorilleux, des Boche et de tous ceux qui ne disaient point comme elle. S'ils n'étaient pas contents, n'est-ce pas? ils pouvaient aller s'asseoir. Elle gagnait ce qu'elle voulait, c'était le principal. Dans le quartier, on avait fini par avoir pour elle beaucoup de considération, parce que, en somme, on ne trouvait pas des masses de pratiques aussi bonnes, payant recta, pas chipoteuse, pas râleuse. Elle prenait son pain chez madame Coudeloup, rue des Poissonniers, sa viande chez le gros Charles, un boucher de la rue Polonceau, son épicerie, chez Lehongre, rue de la Goutte-d'Or, presque en face de sa boutique. François, le marchand de vin du coin de la rue, lui apportait son vin par paniers de cinquante litres. Le voisin Vigouroux, dont la femme devait avoir les hanches bleues, tant les hommes la pinçaient, lui vendait son coke au prix de la Compagnie du gaz. Et, l'on pouvait le dire, ses fournisseurs la servaient en conscience, sachant bien qu'il y avait tout
Je sais que vous avez bon coeur, vous, madame, interrompit la vicomtesse pendant que Dorothée et Juliette pinçaient leurs lèvres moqueuses; je sais aussi que je suis méchante... c'est convenu: ma langue ne vaut rien... Mais, si Béatrice est malheureuse, je prends son parti, voyez-vous! je me fais son amie, et, toute méchante que je suis, je me mets sans façons entre elles et les bonnes âmes qui sont jalouses d'elle... Croyez que je ne parle pas pour vous: vous savez que je ne me gêne pas.
Il est assez rare que le peuple accuse les forgerons de s'emparer du bien d'autrui ou de détourner de la marchandise. Les Exempla de Jacques de Vitry rapportent pourtant l'histoire peu édifiante d'un maréchal ferrant qui avait coutume d'enfoncer très avant un clou dans le pied des chevaux des étrangers qui passaient devant sa forge. Le cavalier remontait dessus, et, un peu plus loin, quand le cheval boitait, un compère se présentait et proposait de le lui acheter un bon prix. Le maréchal lui retirait le clou du pied et, peu de jours après, le cheval était guéri. Dans un récit qui paraît être d'origine polonaise, la sainte Vierge descend aux enfers et y voit les supplices endurés par les gens des métiers: des hommes étaient dans des cavernes incandescentes, où les diables allumaient du feu et faisaient de la fumée; d'autres diables leur introduisaient dans la bouche des fers brûlants, leur enfonçaient des broches rougies dans les oreilles, pinçaient leurs corps avec des tenailles ou les battaient
L'horreur fut telle que les dragons ne se parlèrent plus. Ils se pinçaient les narines
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