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Mis à jour: 30 septembre 2025


Le théâtre lui était donc un lieu favorable en somme, ses dons avaient leur emploi, ses lacunes leur excuse, ses mauvais penchants leur correctif; et il pouvait donner une note toute nouvelle, ce qu'il a d'original s'accommodant bien

Des résistances internes et externes, pudeur et convenances, opposent des obstacles presque insurmontables aux manifestations extérieures des penchants sexuels pervers de la femme. De l

Le diagnostic différentiel de l'inversion acquise peut être difficile; car, tant que l'inversion n'a pas fait disparaître tous les restes de l'ancien sentiment génital normal, le status præsens donnera le même résultat. Dans l'état du premier degré, la satisfaction des penchants homosexuels se fait par l'onanisme passif et mutuel, coitus inter femora.

Ses goûts et ses penchants offraient de bizarres contradictions. Ainsi, le même dilettante acquéreur de rares estampes et amateur de reliures de prix, collectionnait des défroques et des outils de pauvres, des couteaux de matelot, de sordides tickets d'entrées de bals faubouriens.

Il est cependant probable que dans ce cas, malgré un libido sensuel et grossier, les sentiments et les penchants pour l'autre sexe, surtout au point de vue de l'affection psychique et du sens esthétique, ne reposent ab origine que sur une base très faible.

Rien ne pouvait mieux s'accorder avec les idées de Sam que le projet de démasquer les penchants et les qualités réelles de l'homme au nez rouge. L'heure désignée pour la réunion approchant, le père et le fils se dirigèrent immédiatement vers Brick-Lane, et pendant le chemin Sam n'oublia pas de jeter sa lettre

HAMLET. Oui, vraiment, vous dites vrai, et par conséquent, sans aucun détail de plus, je tiens pour convenable que nous nous serrions la main et que nous nous séparions, vous, pour aller vous conduiront vos affaires et vos penchants, car chaque homme a ses affaires et ses penchants, quels qu'ils soient; et moi, pour mon propre et pauvre compte, voyez-vous, j'irai prier.

Quelle est, au voeu de la nature, la destinée normale de la femme? Être épouse, être mère. De son organisme physique et de sa constitution mentale, de ses dons et de ses penchants, de ses qualités et de ses faiblesses, de l'impressionnabilité inquiète de ses nerfs comme de la chaude tendresse de son coeur, cette vocation suprême se dégage avec toute la clarté propre aux vérités universelles. La maternité? mais c'est le cri de son âme! Par la maternité, elle exerce la plénitude de sa fonction, elle utilise tous ses trésors de vie; par la maternité, elle goûte sagesse et bonheur, elle pratique devoir et vertu, elle épuise toutes les ivresses et toutes les sollicitudes de l'amour; par la maternité, elle est femme jusqu'au bout, jusqu'au sacrifice, jusqu'

«La science étant pour notre âme le dernier degré de perfection, et le comble de la félicité, nous en avons tous naturellement le désir. Mais plusieurs n'y peuvent atteindre par diverses raisons, dont les unes sont dans l'homme, les autres hors de lui. Dans l'homme il peut y avoir deux défauts: l'un vient du corps, l'autre de l'âme; le premier existe quand les parties du corps sont mal disposées et ne peuvent rien recevoir, comme dans les sourds et les muets; le second, quand les mauvais penchants entraînent l'âme vers les plaisirs du vice, et la dégoûtent de tout le reste. Hors de l'homme il peut de même y avoir deux causes, dont la première engendre la nécessité, et la seconde la paresse. La première de ces causes consiste dans les soins domestiques et civils, qui enchaînent le plus grand nombre des hommes et leur ôtent le loisir de se livrer aux études spéculatives: la seconde est dans le lieu la personne est née et nourrie, ce lieu étant quelquefois non seulement privé de toute instruction, mais éloigné des gens instruits. Il en résulte que ce n'est qu'un très-petit nombre d'hommes qui peut parvenir

De par la sensibilité de son être et la tendresse de son coeur (nous savons que ces deux penchants expliquent toutes les contradictions de sa nature), la femme est profondément religieuse. Et ce sentiment très vif est fait de la conscience de sa faiblesse, d'une sensation d'effroi en présence du mystère des choses, de la nécessité d'un appui et d'un consolateur au milieu des tentations, des luttes, des douleurs de ce monde. Et cet instinct sublime est élargi, spiritualisé par une sorte d'élévation de l'âme vers l'infini, par un appel au principe éternel de la vie, par une soif inextinguible de piété et d'adoration. Les femmes croient, parce qu'elles ont besoin de croire

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