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Mis à jour: 23 juin 2025


Non, car tous deux nous aurons foulé aux pieds nos serments et nos devoirs dit Paula en interrompant M. de Morville. Nous fuirons au bout du monde, et.... Et la première effervescence de l'amour passée, la haine, le mépris que nous ressentirons l'un pour l'autre vengeront ceux que nous aurons sacrifiés. Mon pauvre ami, votre raison s'égare. Mais que voulez-vous que je fasse?

Après de mûres réflexions, Paula crut entrevoir quelque chance de salut dans la passion même de son mari pour madame de Brévannes.

Ayant toujours ignoré que Paula connaissait M. de Brévannes, Arnold ne pouvait concevoir pourquoi celui-ci conduisait sa femme

Paula, cette fois, trembla. Jusqu'alors elle n'avait souffert des bizarreries de M. de Hansfeld que dans ses accès de colère ou plutôt de douleur désespérée. Il lui avait fait de vagues reproches, presque toujours suspendus par des réticences; mais jamais il n'avait formulé contre elle une accusation aussi précise, aussi terrible.

M. de Morville ignorait complètement que Paula connût M. de Brévannes; ce départ si subit, si extraordinaire en cette saison, annonçait une intimité bien grande. De plus, il se souvenait de quelques mots, de quelques réticences de Paula lors de sa dernière entrevue avec elle au bal masqué. Il se crut sacrifié, trahi, ou plutôt il ne put trouver une raison plausible au départ de Paula; sa raison se perdit. Au risque de compromettre Paula par l'invraisemblance du prétexte de son voyage, il partit pour la Lorraine, décidé

Il va se rencontrer avec cette jeune femme... dit Paula. Tous deux ignorent que M. de Brévannes est instruit de leur amour, et que par un affreux calcul il doit feindre d'ignorer cet amour.... Oh! c'est horrible... les laisser dans cette funeste confiance....

Ma tante Vasari reprit Paula se rendait

Pauvre Arnold! dit Pierre Raimond avec émotion. Sans doute vous êtes faible; mais cette faiblesse même dérivait d'une noble source... vous craigniez d'accuser injustement Paula. En effet, c'est quelque chose d'effrayant que de dire

Iris réfléchit un moment; sa maîtresse l'examinait avec attention; la jeune fille reprit froidement: Puisque le prince vous accuse, marraine, je vais aller le trouver et lui dire que je suis votre complice.... Ainsi, l'on ne me séparera pas de vous. Paula fut effrayée: Iris était capable de cette démarche.

Quel était donc le but de Paula en recevant Berthe

Mot du Jour

n'usait

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