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Mis à jour: 25 mai 2025


Dans sa correspondance officielle avec le ministre des affaires étrangères, M. Pasquier, Chateaubriand se vante de ne point faire, comme ses prédécesseurs, de petits portraits et d'inutiles satires: «Il a tâché, dit-il, de faire sortir la diplomatie du commérageCes portraits et ces satires il excellait, il les a réservés pour ses Mémoires!

Le gouvernement déploya la force nécessaire, sans rigueurs inutiles. Quelques coups de plat de sabre et de poitrails de chevaux suffirent. La sentinelle qui avait tiré sur le jeune Lallemant, étudiant en droit, fut mise en jugement. On acheva de discuter la loi. Les ministres Pasquier et de Serre emportèrent, un

Un événement plus grave que l'exil, et qui a laissé dans le souvenir de mon père une trace plus profonde, s'était passé entre la nouvelle du débarquement de Napoléon et son arrivée aux Tuileries. Le lendemain même du jour ce débarquement était public, madame de Nansouty était accourue chez sa soeur, tout effrayée et troublée des récits qu'on lui faisait, des persécutions auxquelles seraient exposés les ennemis de l'empereur, vindicatif et tout-puissant. Elle lui dit qu'on allait exercer toutes les inquisitions d'une police rigoureuse, que M. Pasquier craignait d'être inquiété, et qu'il fallait se débarrasser de tout ce que la maison pouvait contenir de suspect. Ma grand'mère, qui d'elle-même peut-être n'y eût pas pensé, se troubla en songeant que chez elle on trouverait un manuscrit tout fait pour compromettre son mari, sa soeur, son beau-frère, ses amis. Elle poursuivait en effet dans le plus grand secret depuis bien des années, peut-être depuis son entrée

[201: Voir dans les Mémoires du chancelier Pasquier, t. III, p. 170

Le même jour, Fouché fit part au chancelier Pasquier de sa joie d'avoir obtenu l'abdication. «Qu'allez-vous faire, demanda Pasquier, sur la condition faite en faveur de son fils qu'il prétend encore imposer

Il y eut plusieurs bons discours, parmi lesquels celui de monsieur Pasquier fut remarqué. Il emporta le changement de rédaction qui détruisait toute la cruelle et intempestive sévérité de la pénalité et rendait la loi

Le 15 juillet 1821, le marquis de Caraman mandait au baron Pasquier, ministre des affaires étrangères, qu'il avait reçu sa dépêche du 6 il lui annonçait la mort du prisonnier de Sainte-Hélène. M. de Metternich l'en avait avisé de son côté aux bains de Baden. Venait ensuite une partie secrète écrite en chiffres et qu'il faut méditer: «M. de Metternich a senti tous les inconvénients qui pourraient résulter de la publication des pièces qui seraient apportées sur le continent après la mort de Buonaparte, et il a expédié sur-le-champ un courrier

[Note 121: Il y a la une erreur de plume. Le ministre des affaires étrangères, en février 1820, était M. Pasquier. M. Molé n'a eu, sous la Restauration, que le portefeuille de la marine, et cela

A. Entrée principale. D. Couloir de droite. G. Couloir de gauche. T. Tribune des orateurs. 1. Le président de la Chambre M. le baron Pasquier, chancelier de France. 2. Secrétaires: M. le marquis de Louvois. M. le comte de Turgot. 3. Secrétaires: M. le comte Durocher. M. le vice-amiral Halgan. 4. M. Cauchy, secrétaire-archiviste. 5. M. La Chauvinière, secrétaire-archiviste. Huissiers. 7.

Je m'expliquai aussi avec M. le baron Pasquier; je lui mandais, le 10 février 1821: «J'apprends de Paris, monsieur le baron, par le courrier arrivé ce matin 9 février, qu'on a trouvé mauvais que j'eusse écrit de Mayence au prince de Hardenberg, ou même que je lui eusse envoyé un courrier. Je n'ai point écrit

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