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Dis-lui que je veux partir, mais que je ne partirai pas sans elle. J'attendrai qu'elle soit guérie. Cristo! vous ne voulez pas profiter...? Ah! pas de discussion! N'es-tu pas libre, toi, dès a présent? Va, si tu m'aimes!

Ses regards me causoient une terreur inexprimable; je lui dis: Léonce, sortons d'ici; je ne partirai pas; que veux-tu de moi? sortons d'ici. Non! s'écria-t-il en me retenant avec violence, dans une heure tu reprendras sur moi ton funeste empire; je recommencerai cette misérable vie de tourmens, de craintes, de regrets; non, ce jour terminera cette existence insupportable; ton âme doit sentir en cet instant ce qu'elle peut pour moi: si tu résistes

Notre frère a eu tort de t'insulter, dit le doyen de l'assemblée; mais ton fils nous appartient, et tu ne l'emmèneras pas. Sans-Peur demeura calme et ferme, ce coup était prévu. Isabelle poussa un cri de douleur. Serez-vous donc sans pitié pour moi? s'écria-t-elle. Madame, votre place est au milieu de nous. Isabelle, dit Sans-Peur, sois leur reine; garde nos trois enfants... je partirai seul!...

Ma résolution fut formée avec la promptitude de l'éclair. Je partirai aussi avec vous, major, m'écriai-je. Jock! Jock! dit mon père, en se tordant les mains. Jim ne dit rien, mais il passa son bras autour de moi et me serra la taille. Le major avait les yeux brillants, et brandissait sa canne en l'air.

C'est bien! j'aurai ces papiers. Ainsi, tu partiras demain. Je partirai cette nuit. Va, et que Dieu te conduise! Une première fois tu m'as peut-être sauvé la vie; une seconde fois tu me sauves l'honneur. Que ferai-je pour toi, Grinedal? Vous me ferez voir une bataille.

MADAME DE FLEURVILLE. Je l'ai promis et je ne m'en dédis pas, mon ami; c'est un grand bonheur pour moi que cette vie commune avec vous et les vôtres. Quand vous partirez, je partirai; quand vous reviendrez, je reviendrai. Mais sont les enfants? comment ont-ils laissé Mlle Yolande toute seule? M. DE ROSBOURG. Je soupçonne qu'elle les a mis en fuite par ses grands airs et sa méchante langue.

Comme il prononçait ces paroles, dame Catherine, ne pouvant se contenir davantage, éclata en sanglots. Non, non, tranquillise-toi, ma bonne femme s'écria Jacques; non, je ne partirai pas cette nuit... Si ce n'est pas cette nuit, ce sera demain, ait-elle d'une voix profondément altérée.

«Je partirai demain pour Cattaro, et je ferai mettre les dispositions de votre arrêté

L'enterrement a lieu demain; je partirai dans l'après-midi et resterai le moins longtemps possible. Ah! si vous héritez... c'est bien différent? Connaissez-vous le montant de l'héritage? Non, monsieur; le notaire me dit seulement que je suis légataire universelle. Votre cousin était marchand? Non, monsieur; mon cousin Rollant était maçon, et patron depuis de longues années.

Très pâle, il se leva, regarda autour de lui d'un oeil attendri ce joli cabinet, bien clos, plein de chaleur et de lumière douce, ce large fauteuil si commode, ses livres, son tapis, les grands stores blancs de ses fenêtres, derrière lesquels tremblaient les branches grêles du petit jardin, puis, s'avançant vers le brave commandant, il lui prit la main, la serra avec énergie, et d'une voix roulaient des larmes, stoïque cependant, il lui dit «Je partirai, Bravida