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Mis à jour: 5 juillet 2025


Avec Verlaine, M. Stéphane Mallarmé est le poète qui a eu l'influence la plus directe sur les poètes d'aujourd'hui. Tous deux furent parnassiens et d'abord baudelairiens. Per me si va tra la perduta gente.

La première du Passant! je me la rappelle comme si c'était hier: On l'avait annoncée, prônée, escomptée au café de Bobino, voisin des arbres du Luxembourg, se réunissaient les Parnassiens, passait Rochefort, venait de débarquer, avec Pierrot Héritier, Paul Arène au bras d'Alphonse Daudet, célèbre déj

Mais le souci de perfection et le besoin de beauté qui hantaient les Parnassiens devaient, au moins dans les commencements (car toute école nouvelle est intransigeante), les conduire

Toutefois, si les parnassiens ont peu innové dans la versification, ils ont eu, plus que les romantiques, le goût de la perfection absolue, la religion de la rime; ils ont, dans leurs meilleurs moments, assoupli encore et trempé le vers français et en ont certainement tiré quelques vibrations neuves.

C'est Catulle Mendés qui invoquait avec ce lyrisme fraternel le poète dont il fut le confrère et l'ami au temps ancien du Parnasse et des parnassiens.

Malgré cette école néo-hellénique et les talents distingués qu'on y compte; malgré, encore, le groupe des Parnassiens, petite école un peu indistincte, se sont rencontrés des romantiques moins la sensibilité, et des néo-antiques moins l'intelligence profonde de l'antiquité, et qui procède un peu d'André Chénier par le soin curieux de la forme rare; malgré Hugo lui-même, qui, avec sa prodigieuse souplesse d'exécution, s'amuse quelquefois

Quand Théodore de Banville n'est pas le poète funambule, il est le poète virtuose par excellence. On a dit justement qu'il fut le dernier des romantiques et le premier des parnassiens. Il prit le vers de Hugo, l'assouplit, le rompit encore, l'étira

M. François Coppée n'a pas si bien défiguré dans son livre ses débuts littéraires qu'on n'en trouve encore quelque image. Ses premières rencontres avec les parnassiens y sont notées et il n'est pas difficile de reconnaître en ce Paul Sillery qu'il nous représente comme un poète exquis et comme un confrère excellent, M. Catulle Mendès, l'homme de tout Paris, je le sais, le plus attaché aux lettres et le plus étranger

L'éternelle mélancolie et l'éternel espoir... Mais pourquoi un critique impérieux et inventif, dialecticien de la même façon que d'autres sont poètes, et qui produit des théories comme un rosier porte des roses, a-t-il dit, et même démontré, que la poésie romantique et la poésie personnelle, c'est tout un; que ce qui distingue, en gros, les romantiques des parnassiens, c'est que les premiers, monstres de vanité, se jugeaient si intéressants et si particuliers qu'ils ne nous parlaient que d'eux-mêmes et de leurs petites affaires, au lieu que les seconds se sont appliqués

Il convient peut-être de dire que la jeunesse littéraire est pessimiste comme le furent en 1830 les jeunes romantiques et en 1850 les réalistes, et plus tôt encore la pléiade des Parnassiens.

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