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Mis à jour: 14 mai 2025


«La poésie illyrienne, ainsi que l'on pouvait s'y attendre, offre de grands points de ressemblance avec la poésie serbe. Comme elle, elle célèbre des hauts faits d'une atroce sauvagerie et la vertu noble et héroïque. À en juger par les fragments que nous avons vus, peu de ces pièces présentent un intérêt historique; comme elles proviennent d'une nation faible, elles ne relatent pas de grandes batailles, et Thomas II, dernier roi de Bosnie, en est le seul héros de marque. Mais elles chantent en un style très fier, le courage et l'audace des heyduques (brigands) dans leur lutte contre les pandours (soldats de la police) lâches et détestés. Les superstitions sont d'un genre lugubre, les saints n'y apparaissent guère portés

«Et cependant il périt dans un duel avec le porte-drapeau Zollner, qui était cornette dans notre corps de Pandours, et qui se connaissait en escrime autant que vous en équitation. «Car, sachez le bien, la rapière est faite pour les coups de pointe et non pour les coups de taille, en sorte que celui qui la manie ne se tient jamais en garde contre un coup de côté.

«Sous la domination ottomane, il y avait en Serbie, presque dans chaque district, un officier turc nommé boulioubacha, ayant sous ses ordres un certain nombre de pandours serbes et turcs, et chargés de poursuivre les haïdouks[A]. Quelquefois, lorsque ceux-ci se montraient en grand nombre et commettaient des meurtres et des vols fréquents, les Turcs mettaient toute la population sur pied pour leur donner la chasse. Quand la battue n'avait point de résultat, les Turcs avaient recours au teftich, c'est-

Le souvenir de Kara-Georges massacré brutalement par les pandours, en 1817, était encore vivant. Le caractère romanesque de cet homme de génie, libérateur de son peuple et assassin de sa famille, avait captivé Pouchkine. Le 5 octobre 1820, sept ans avant la Guzla, il écrivit sa poésie À la fille de Kara-Georges.

Un colonel de Pandours, nommé Danese, travaillait activement, avec les Russes et les moines,

Ce prêtre accompagné de ses pandours, c'est bien l'image de la Hongrie d'autrefois, magnats et évêques entretenaient une véritable armée de serviteurs, qui les gardaient en temps de paix, et qui, en temps de guerre, montaient

Un fameux sport, colonel, dit le baronet, dont une légère rougeur anima les joues pâles. Je parie que vous faisiez trotter vos pandours!

Fortis, en curieux, n'avait noté qu'une coutume au moins étrange, Mérimée, lui, nous fait voir un petit tableau plein de saveur et de piquant. Et d'abord, il a l'habileté de mettre en éveil la curiosité de son lecteur: «Lorsque les pandours ont fait un prisonnier, ils le conduisent d'une façon assez singulièrePuis il nous les montre dépouillant leur prisonnier de ses armes et... coupant le cordon qui retient sa culotte; enfin il a la charité toute chrétienne de plaindre le pauvre heyduque qui «est obligé de marcher très lentement de peur de tomber sur le nez». Fortis, au chapitre consacré

D'Esculape les favoris Semblaient même me faire accroire Que j'irais dans le seul pays n'arrive point votre gloire; Dans ce pays dont par malheur On ne voit point de voyageur Venir nous dire des nouvelles; Dans ce pays tous les jours Les âmes lourdes et cruelles, Et des Hongrois et des Pandours, Vont au diable au son des tambours, Par votre ordre et pour vos querelles; Dans ce pays dont tout chrétien, Tout juif, tout musulman raisonne; Dont on parle en chaire, en Sorbonne, Sans jamais en deviner rien; Ainsi que le Parisien, Badaud, crédule et satirique, Fait des romans de politique, Parle tantôt mal, tantôt bien, De Belle-Isle et de vous peut-être, Et dans son léger entretien Vous juge

Quand les Pandours prennent un Haiduck, ils ne le lient pas, comme on fait dans le reste de l'Europe: ils coupent le cordon de sa longue culotte, qui tombant sur ses talons, l'empêche de se sauver & de courir. Il paroît plus conforme

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