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Mis à jour: 25 juin 2025
Et la brise remuait les pampres de la tonnelle, les orges mûres se balançaient par intervalles, un merle sifflait. En portant des regards autour d
On laissa les plaines sèches, les coteaux ornés de pampres. On aspira les fraîcheurs dans la forêt des Vosges. L'infanterie fut dépassée. Aux abords des villages nichés dans les courbes, les lignes de chevaux nus bordaient les murs en pisé des fermes. Les états-majors trottaient autour des berlines emmenant les généraux.
Mais je crois que la peau de panthère ne m'enlaidira pas non plus. Et elle frappa sur un timbre. Une femme de chambre entra. Eucharis, dit Arsène, apportez le thyrse, les pampres et la peau de tigre.
«Fichtre!, dit Claude, quel morceau!» Le sculpteur, ravi, tira sur sa pipe, lâcha un nuage de fumée. «Hein! n'est-ce pas?... Je vais leur en coller, de la chair, et de la vraie, pas du saindoux comme ils en font! C'est une baigneuse? demanda Sandoz. Non, je lui mettrai des pampres... Une bacchante, tu comprends!». Mais, du coup, violemment, Claude s'emporta.
«Il arrive le visage barbouillé de suie et de lie de vin, quelquefois couronné de pampres comme un Silène antique, ou affublé d'un masque grotesque. Une tasse ébréchée ou un vieux sabot pendu
Les fils sont beaux, la femme est vertueuse, et l'homme, Chaque soir de marché, fait tinter dans sa main Les deniers d'argent clair qu'il rapporte de Rome. Rigetque dura barba juncta crystallo. Diversorum Poctarum Lusus. Quel froid! le givre brille aux derniers pampres verts; Je guette le soleil, car je sais l'heure exacte Où l'aurore rougit les neiges du Soracte.
Des mois s'écoulaient sans que Julien vît personne. Souvent il fermait les yeux, tâchant, par la mémoire, de revenir dans sa jeunesse; et la cour d'un château apparaissait, avec des lévriers sur un perron, des valets dans la salle d'armes, et, sous un berceau de pampres, un adolescent
Quel joyeux coup d'oeil! les pampres verts ornaient les jougs de nos boeufs, les brides de nos chevaux, et jusqu'aux fers de nos lances; puis, tous en choeur nous chantions ce bardit: « Les Franks ne le boiront pas, ce vin de la vieille Gaule... non, les Franks ne le boiront pas!... Nous vendangeons l'épée d'une main, la serpe de l'autre. Nos chars de guerre sont des pressoirs roulants.
Voyez: quand le printemps paraît, Les Grâces font croître les roses. Voyez: le flot de la mer Vient mourir avec calme. Voyez comme le canard plonge, Voyez comme voyage la grue. Le soleil brille sans voiles, Les ombres des nuages sont mises en fuite, Les ouvrages des hommes resplendissent. La terre s'incline sous le poids de ses fruits, Le fruit de l'olivier saillit en dehors, La vigne de pampres se couronne. Sous la feuillée,
Diamètre, 10 p°. 8 lig. Cette peinture curieuse et d'un bon coloris, représente un Bacchus contemplant en riant un Satyre renversé par terre, et auquel il verse sa liqueur enivrante. Le Satyre, pressé sous le pied du Dieu, faisant un vain effort pour se lever, et laissant échapper le vin de sa coupe, offre l'image de l'abrutissement causé par l'ivresse. Bacchus est couronné de fleurs et de pampres; son front est ceint du bandeau ou diadême dont il inventa l'usage; le jeu des rubans qui attachent la couronne, produit ici deux espèces de cornes qu'on a cru indiquées mystérieusement; Bacchus se représentait quelques fois avec des cornes, et, suivant Diodore (III, 64 et IV, 4.) cet attribut rappelait que, le premier, il avait employé les b
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