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eût mieux fait, je crois. Je sais ce que vous allez me répondre: «Paddock ne doit pas être tristeNon, il n'est pas triste, il n'est qu'ironiquement sinistre. Cette blague-l

Flying Fox est bai, avec liste en tête et trace de balsane postérieure gauche. Bâti en athlète (1m,64 de taille), avec des membres absolument nets, c'est bien le plus puissant type de reproducteur qu'on puisse imaginer. Comme la plupart des chevaux illustres, il a de la fougue et de la volonté. Lâché dans le paddock, il y galope en endiablé. Lors de son arrivée

C'était difficile, j'en conviens, mais j'aurais préféré mettre trop de lumière sur Paddock que de n'en pas mettre assez sur Yorick. Votre andante est meilleur quoiqu'un peu triste: Yorick est heureux de son malheur. Il n'est plus lui, il vit tout entier en Myrrha. Toutes ses réponses doivent être d'une contemplation passionnée. Mais avant tout l'amour, l'amour!

Ce n'est pas une idée typique. Oter tous ces accords de fa dièse sous le récit de Paddock. C'est inutile. Tout le reste du récit est très bon d'intention. Cela ne sort pas assez encore, mais c'est juste; il y a de l'émotion. J'aurais voulu enchaîner: «D'ailleurs, son souvenir me suivrait en tous lieux» avec la romance. Cette ritournelle refroidit. Voyez la coupure que je vous propose.

Essayez donc de refaire ce morceau. Ce sera un excellent exercice. Mettez-vous dans la peau d'Yorick; Paddock viendra tout seul.

Votre division est bonne: je crois que les couplets de Paddock «Je ris», doivent avoir une grande valeur dramatique, mais très peu d'importance au point de vue de la forme du morceau. Il... escompter l'air. Je crois aussi que les soi-disant couplets de Myrrha

Finissez bien le chœur, puis une ritournelle en majeur assez développée pour que Paddock ait le temps de descendre lentement toute la scène de l'Opéra. Dans cette ritournelle il faut esquisser la figure de Paddock. Je n'insiste pas; vous m'avez compris, j'en suis sûr. Ah! je vois le bouffon pa-rai-tre; Implorons encor les destins Implorons les destins En somme, le progrès continue.

La terre est divisée en paddock, paissent les vaches et les moutons. Ceux-ci semblent perdus dans l'herbe haute; aussi s'engraissent-ils rapidement. Lorsqu'un paddock est dévoré, on passe les animaux dans le paddock voisin, et l'herbe repousse bien vite au premier. Je puis comparer ces plaines fertiles

un silence. Paddock remonte la scène... pour se rapprocher de la mer. Il faut lancer la coupe, ne l'oublions pas! Que la coupe retombe sur la scène, et la pièce tombe!... Il faut penser

J'aime assez: «J'aimais ce vieillard qui tombeLa réponse d'Yorick est faible d'idée; de plus, c'est écrit beaucoup trop haut. Le début de l'ensemble marche; la fin tombe dans le procédé rossinien; votre trait en tierces est une vieille machine. Ensuite, cela manque d'enthousiasme. Ce Yorick est un enragé d'amour. Il doit être en pleine lumière. Il fallait un contraste entre Paddock et Yorick.