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Mis à jour: 16 juin 2025


Traité de Louis avec le roi d'Angleterre. Louis, par ce traité, déclare, 1.° qu'il cède au roi d'Angleterre ses droits sur le Limousin, le Périgord, le Quercy, l'Agénois, et la partie de la Saintonge qui est entre la Charente et la Garonne, mais avec la réserve de l'hommage des princes, ses frères, si toutefois Henri peut prouver, devant des arbitres dont on conviendra, qu'il a de justes prétentions sur la terre que le comte de Poitiers tient dans le Quercy, du chef de sa femme; 2.° qu'il s'oblige, en cas que l'Agénois ne revienne pas

Sur sa vie nous savons aussi peu de chose que sur celle des grands troubadours étudiés jusqu'ici. C'était un chevalier de Ribérac, en Périgord; il se serait adonné d'abord

«MM. de Périgord et de Mortemart, heureusement arrivés, m'ayant remis la lettre dont vous m'avez honoré, en date du 2 juin dernier, je me suis fait un devoir de la soumettre

Mon grand-oncle se plaçait bien au-dessus de cette espèce de vanité. Il avait trop d'esprit pour s'y abandonner. M. de Périgord manquait de cette qualité, et la cour commettait une grande faute en envoyant comme commissaire du roi, pour défendre les intérêts de ses finances auprès des

On n'a jamais ouï chanter en Périgord la chanson de Biron, sans abominer l'ingratitude monstrissime de Henri IV. C'est tellement vrai, qu'il était défendu de la chanter autrefois; cinq bourgeois de Domme furent mis en prison, du temps de Louis XIV, pour l'avoir chantée dans une auberge, et encore elle fait quelque peu son effet.

Parmi les provinces qui préférèrent conserver leurs anciens tarifs, il s'établit deux divisions. Les unes prirent le nom de provinces étrangères, relativement au tarif de 1664 dont elles n'avaient pas voulu: c'étaient la Bretagne, l'Angoumois, la Marche, le Périgord, l'Auvergne, la Guyenne, le Languedoc, la Provence, le Dauphiné, la Flandre, l'Artois, le Hainaut et la Franche-Comté.

Dans la séance tenue par la Société historique et archéologique de la Dordogne, le 2 août 1877, M. Dujaric-Descombes fit la communication suivante, au sujet de la mort récente du poète aveugle J. Lafon-Labatut: «Bien qu'une terre étrangère l'ait vu naître, Lafon-Labatut appartient au Périgord par sa famille originaire du Bugue et son existence écoulée dans cette ville. Ce poète si digne d'intérêt avait pris une place distinguée dans la poésie contemporaine par la publication de ses Insomnies et Regrets, et son admirable talent, couronné par l'Académie française, recevra encore un nouveau lustre par la publication posthume d'un second recueil inédit, les Derniers Tâtonnements. Le Périgord tout entier a vivement ressenti la perte d'un homme qui l'honorait par son génie poétique. La Société historique et archéologique, qui a le culte des hommes et des choses qui font la gloire de notre province, voudra rendre un hommage

Et ce n'est pas au loin que ça se passait, c'est dans notre pays même; mais qui connaît les pauvres Croquants du Périgord? La plupart des historiens n'en parlent guère, que pour faire des brigands de ces malheureux soulevés par la désespérance.

Ah! nous n'oublions pas aisément, nous autres gens du Périgord, et pendant longtemps on n'a pas fait la fête de saint Louis dans nos églises, parce qu'il nous avait donnés aux Anglais. Encore aujourd'hui on ne l'aime pas trop; aussi, on ne voit guère d'enfants de paysans appelés Louis.

En 1787, Mirabeau écrivait au comte d'Antraigues: «Ma position, assombrie par l'infâme conduite de l'abbé de Périgord, est devenue intolérable. Je vous envoie sous cachet volant la lettre que je lui écris; jugez-la et envoyez-la-lui; car j'aime

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