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Le samedi soir, mon grand-oncle apportait du marché un pain de seigle et un petit morceau de beurre. Je résolus de lui faire sa soupe toute seule et je me fis bien expliquer comment la Mariotte s'y prenait. J'allai au jardin arracher quelques légumes et je les épluchai bien proprement avec mon méchant petit couteau.

Nous étions parmi les plus pauvres paysans de la paroisse. Nous ne demandions pourtant pas l'aumône; mon grand-oncle travaillait encore comme journalier, et ses deux petits-fils commençaient

Je trouvai mon grand-oncle très inquiet de moi. Il me prit le bras et me poussa avec Rosette dans la maison, puis il dit

Aujourd'hui nous avons pêché toute l'après midi. C'est la règle inflexible des Granges tous les jeudis en prévision du vendredi, mon grand-oncle tend ses lignes quatre heures durant, au bord d'un clair ruisseau. Jeudi il était rêveur,

I. Voyages annuels de Mlle Dillon en Languedoc, avec son grand-oncle l'archevêque de Narbonne, de 1783

Mais mon grand-oncle, qui n'était plus bien leste, avait

[Illustration: Son grand-oncle: Paulin Gillon, député de la Meuse et maire de Bar-le-Duc de 1840

I. Dessein de l'auteur. II. Milieu Mlle Dillon passa ses premières années. Son grand-oncle Arthur Dillon, archevêque de Narbonne. Son père Arthur Dillon, 6e colonel propriétaire du régiment de Dillon. Sa mère, dame du Palais. Sa grand'mère Mme de Rothe: son caractère altier et emporté, sa haine pour sa fille. III. Résultat sur le caractère de Mlle Dillon, l'auteur de ces mémoires. Son enfance triste et sa précoce expérience. Elle est préservée de la contagion par sa bonne, la paysanne Marguerite. IV. Mœurs de la société,

Ah! que de tristesses renfermées dans ce seul mot: Adieu! Il me semble le plus amer de tous. Nous voici donc arrivées, aux Granges: une vieille propriété de famille, habitée par mon grand-oncle Benjamin et sa fille Francine, ma tante

Mon grand-oncle maternel, le capitaine Peyrot, était