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Mis à jour: 19 octobre 2025
Messieurs les jurés, ce droit de critiquer la loi, de la critiquer sévèrement, et en particulier et surtout la loi pénale, qui peut si facilement empreindre les moeurs de barbarie, ce droit de critiquer, qui est placé
Toutes les prisons du temps du King-John, et la geôle de Southwark en était une, avaient leur cave pénale.
Messieurs, on oublie continuellement dans ce débat le but fondamental de toute peine, de toute législation pénale. Quel est-il? Ce n'est pas seulement de punir et de réprimer le condamné; il s'agit surtout de prévenir des crimes pareils. Il s'agit, non-seulement de mettre celui qui a commis le crime hors d'état de nuire de nouveau, mais d'empêcher que ceux qui seraient tentés de commettre des crimes semblables et de devenir coupables
Une loi qui supprime la peine de mort, quand la société aura rendu cette suppression sans danger pour elle, par un système organisé de colonisation pénale qui sépare l'écume de l'eau sur un écueil de l'Océan lointain, qui sépare le criminel de la société autant que le tranchant de la hache sépare la tête du tronc sur l'échafaud;
Pour cette raison, le Crime d'être pauvre n'est mentionné clairement dans aucun code, ni dans aucun recueil de jurisprudence pénale. Tout au plus, est-il classé parmi les simples délits relevant des tribunaux correctionnels et assimilé au vagabondage, qui n'est, lui-même, qu'une conséquence de la pauvreté.
Pourquoi cette double iniquité? dira-t-on. En admettant même que l'adultère mérite une répression pénale, parce qu'il n'atteint pas seulement l'époux trompé, mais aussi l'ordre familial inséparable de l'ordre public, il est incompréhensible que la loi distingue deux sortes d'adultère, l'adultère de l'homme et l'adultère de la femme, et qu'il châtie le second plus durement que le premier. Comme si les mêmes devoirs ne comportaient pas les mêmes sanctions! Notre Code pénal admet-il donc deux morales? Voil
Une sanction pénale. Notre énergie se heurte contre des opposants irréductibles. Nous avons pour nous la jeunesse et le peuple; mais nous ne pouvons rien, ou presque rien, contre une certaine caste qui exerce une autorité morale incontestable et nous résiste pied
Au cours de ce période il écrivait pour une revue de jurisprudence, le remarquable article où un congrès, plus tard, devait puiser les éléments d'un essai de réforme pénale. Courageusement il y signalait (condition ravalée de la femme, recherche de la paternité toujours éludée), la sénile et obtuse immiséricorde de la Loi, fomentatrice d'irréparables iniquités. Et la page, toute chaude d'humanité blessée, lui coulait de la plume, d'une éloquence cubique et nourrie qui, l'article paru, l'étonna lui-même. Comment n'avait-il pas été frappé plus tôt par l'évidence de ces anomalies monstrueuses? Et quel ordre mystérieux l'astreignait
Enfin, la Traite trouve aussi une ressource abondante dans la corruption de la justice pénale, l'esclavage étant la punition de presque tous les délits, et même des fautes les plus légères. Plus souvent c'est la punition de crimes imaginaires, tels que la magie, l'accusation de magie servant de prétexte ordinaire pour réduire un homme en esclavage, et, quelquefois même, pour faire partager le même sort
Le gouvernement présenta, le 22 mars 1819, trois projets de loi sur la liberté de la presse: le premier, intitulé Des crimes et délits commis par la voie de la presse ou tout autre moyen de publication, était une loi pénale qui définissait ce genre de crimes et de délits et déterminait les peines qui devaient y être attachées; le second, relatif
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