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Mis à jour: 16 mai 2025


Toutes les apparences me persuadent qu'il l'est, madame, répliqua modestement la bergère, et je dois les en croire. Quoi! continua la reine, n'avez-vous pas entendu dire que vous êtes née princesse? On me l'a dit depuis peu, répondit-elle, cependant oserais-je me vanter d'une chose dont je n'ai aucune preuve?

Encore si c'était vous qui dussiez le tuer! que Dieu soit avec lui, car je ne l'aime guère. Mais, si c'est lui qui vous perfore, vous aurez fait un beau coup. Qui est-ce qui payera les pots cassés? oserais-je vous demander

C'est ce qui ne se découvre pas d'abord: les passions qui écartent les citoyens les uns des autres dans une démocratie se manifestent d'elles-mêmes. Mais on n'aperçoit pas du premier coup d'oeil la force cachée qui les retient et les rassemble. Oserais-je le dire au milieu des ruines qui m'environnent? Ce que je redoute le plus pour les générations

Grave question que j'ai pu soulever, mais qu'il ne m'appartient pas de résoudre, s'écria M. de La Seiglière, qui, se sentant enfin dans la bonne voie, avança d'un pas plus assuré et prit bientôt un trot tout gaillard. Cependant, s'il m'était permis d'émettre quelques idées sur un sujet si important, je dirais que ce n'est pas en s'isolant dans ses terres et dans ses châteaux que la noblesse pourra ressaisir la prépondérance qu'elle avait autrefois dans les destinées du pays; peut-être oserais-je ajouter bien bas que nos vieilles familles se sont alliées trop longtemps entre elles, que, faute d'être renouvelé, le sang patricien est usé, que pour retrouver la force, la chaleur et la vie près de lui échapper, il a besoin de se mêler au sang plus jeune, plus chaud, plus vivace du peuple et de la bourgeoisie. Enfin, madame la baronne, je chercherais

"O Zarathoustra, répondit celui que Zarathoustra avait heurté, ce serait une monstruosité, comment oserais-je m'aviser d'une pareille chose! Mais ce dont je suis maître et connaisseur, c'est du cerveau de la sangsue: c'est l

Aux pages 89-188 du second volume sont traduites les ballades de la Guzla, excepté la dernière, la seule authentique, la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga. Dans la préface, le traducteur motivait cette absence: «Comment oserais-je, dit-il, venir après un tel Maître que Goethe et traduire de nouveau en allemand ce chant divin

Je vous avoue donc, non seulement que je l'ai vu, mais que je l'ai vu tel que vous pouvez souhaiter qu'il m'ait paru. Et si vous l'avez vu, Madame, interrompit-il, est-il possible que vous n'en ayez point été touchée? Et oserais-je vous demander s'il n'a fait aucune impression dans votre coeur?

Oserais-je donc, fit-il, attirer l'attention de Votre Majesté sur ma modeste personne? Et si mes services, ou du moins mes efforts, recueillent l'auguste approbation de celui qui peut seul en juger l'importance, me sera-t-il permis d'exprimer ici l'espoir dont je me plais parfois

Moi, votre ennemi! Et comment oserais-je jamais me poser ainsi, quand même je ne serais pas subjugué par vos charmes? Est-ce que vous avez des ennemis, divine Corilla? Est-ce que vous pouvez en avoir

Oserais-je faire remarquer

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