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Mis à jour: 14 juillet 2025
Le lendemain, au retour du cimetière, après l'enterrement. Pierre déjeuna seul dans sa chambre, en se réservant de prendre, l'après-midi, congé du cardinal et de donna Serafina. Il quittait Rome le soir, il partait par le train de dix heures dix-sept. Rien ne le retenait plus, il n'y avait plus qu'une visite qu'il voulait rendre, une visite dernière au vieil Orlando, le héros de l'indépendance, auquel il avait fait la formelle promesse de ne point retourner
AUDREY. Va-t'en, bon William. WILLIAM. Dieu vous tienne en joie, monsieur! CORIN. Notre maître et notre maîtresse vous cherchent: allons, partez, partez. TOUCHSTONE. Trotte, Audrey, trotte, Audrey. Je te suis, je te suis. Entrent ORLANDO et OLIVIER.
ORLANDO. Beau jeune homme, je voudrais pouvoir te faire croire que j'aime.
C'est cette mort de la pauvre femme, reprit tristement Orlando. Je disais
Monsieur le comte Prada, je vous prie. Le valet considéra en silence ce petit prêtre et daigna demander: Le père ou le fils? Le père, monsieur le comte Orlando Prada. Bon! montez au troisième étage. Puis, il voulut bien ajouter une explication. La petite porte,
ORLANDO. Non, belle princesse; il est l'agresseur général: je ne fais que venir comme les autres, pour essayer avec lui la force de ma jeunesse.
ORLANDO. Je te jure, jeune homme, par la blanche main de Rosalinde, que c'est moi-même: je suis cet infortuné. ROSALINDE. Mais êtes-vous aussi amoureux que le disent vos rimes? ORLANDO. Ni rime ni raison ne sauraient exprimer tout mon amour.
ORLANDO. Je vous suis très-redevable: portez-vous bien. Appartement du palais. Entrent C
Mais, lorsque Orlando sut que Pierre était descendu au palais Boccanera, il se passionna de nouveau, et il eut un geste de contrariété vive, en entendant frapper
Les six années d'attente qui suivirent, Orlando les vécut
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