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Mis à jour: 17 juin 2025
Mais leur principal instrument est celui qu'ils nomment balafo, et que Jobson nomme ballard. Il est élevé d'un pied au-dessus de la terre et creux par-dessous. Du côté supérieur, il a sept petites clefs de bois rangées comme celles d'un orgue, auxquelles sont attachés autant de cordes et de fils d'archal de la grosseur d'un tuyau de plume et de la longueur d'un pied, qui fait toute la largeur de l'instrument. À l'autre extrémité sont deux gourdes suspendues comme deux bouteilles, qui reçoivent et redoublent le son. Le musicien est assis par terre vis-
Il s'agit bien de boire! murmura le père, qui tirait de son orgue quelques accords isolés pour s'assurer que les touches du clavier faisaient vibrer exactement toutes les cordes de l'instrument. Il s'agit de mon honneur, il s'agit de notre fortune. Nous allons jouer notre va-tout devant le roi et devant la cour. Ce soir, nous serons riches et heureux; sinon, il me faudra renoncer
De notre côté, nous lui demandâmes des nouvelles de Lipari. Ce qu'il y connaissait de plus nouveau, c'était son orgue éolien dont parle Aristote, et ses étuves dont parle Diodore de Sicile; quant aux voyageurs qui avaient visité l'île avant nous, les derniers étaient Spallanzani et Dolomieu. Le brave homme, bien au contraire du roi
«Mais, dans la triste cérémonie de ce matin, son orgue a rafraîchi mon esprit plus encore que mes nerfs. Il m'a paru que la musique était une sœur de la mort, qui lui a fait ses confidences et dont elle nous révèle les secrets. Qu'est-ce que la mort? un divin distillateur, qui fait tomber au fond de l'alambic les principes lourds qui doivent y rester, et en dégage ce qui doit s'envoler, cette huile subtile qui est notre vrai moi, notre moi complet, sans les altérations que lui font subir les hasards de la destinée. Par ses soins, par son mystérieux travail, nous devenons tout ce que nous pouvons être; ce n'est plus le romarin, c'est son essence. Nous savons ce que la mort nous ôte, nous sommes incapables de savoir ce qu'elle nous donnera; ce matin, j'ai cru le deviner en entendant chanter cet orgue, je me suis dit que la musique est un art céleste, qui s'entend comme la mort
Les ostensoirs, ornés de soie, Vers les villes échafaudées, En toits de verre et de cristal, Du haut du choeur sacerdotal. Tendent la croix des gothiques idées. Ils s'imposent dans l'or des clairs dimanches Toussaint, Noël, Pâques et Pentecôtes blanches. Ils s'imposent dans l'or et dans l'encens et dans la fête Du grand orgue battant du vol de ses tempêtes
Quand les volets sont rabattus, ce qui était le cas, on y voit la Purification de la Vierge. Ayant quitté le choeur, je vins me camper, les bras croisés, en face de cet orgue caressé des dernières lueurs du jour. Bien qu'extrêmement agité, je ne m'inquiétais plus; comme il arrive après les décisions prises.
Jerry, le directeur des chiens dansants, était un homme de haute taille, avec des favoris noirs et un costume de velours. Il paraissait bien connu de l'aubergiste et de ses hôtes, et il les aborda avec une grande cordialité. Il se débarrassa d'un orgue de Barbarie qu'il posa sur un siège, et, gardant
Nous entrâmes dans l'église de Saint-Nicolas pour entendre le plus bel orgue qui ait été fait jusqu'ici. Arabella, habituée aux sublimes réalisations, âme immense, insatiable, impérieuse envers Dieu et les hommes, s'assit fièrement sur le bord de la balustrade, et, promenant sur la nef inférieure son regard mélancoliquement contemplateur, attendit, et attendit en vain, ces voix célestes qui vibrent dans son sein, mais que nulle voix humaine, nul instrument sorti de nos mains mortelles ne peut faire résonner
O moment solennel! ce peuple prosterné, Ce temple dont la mousse a couvert les portiques, Ses vieux murs, son jour sombre, et ses vitraux gothiques; Cette lampe d'airain, qui, dans l'antiquité, Symbole du soleil et de l'éternité, Luit devant le Très-Haut, jour et nuit suspendue; La majesté d'un Dieu parmi nous descendue; Les pleurs, les voeux, l'encens, qui montent vers l'autel, Et de jeunes beautés, qui, sous l'oeil maternel, Adoucissent encor par leur voix innocente De la religion la pompe attendrissante; Cet orgue qui se tait, ce silence pieux, L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible; Il croit avoir franchi ce monde inaccessible, Où, sur des harpes d'or, l'immortel séraphin Aux pieds de Jéhovah chante l'hymne sans fin.
A ce son la princesse tressaillit et s'écria: Oh! c'est lui... il veille encore... tiens, maintenant ma tête est si faible, que le bruit de cet orgue me semble effrayant, surnaturel... ce ne sont plus les sons de cet instrument que j'entends, mais les voix mystérieuses d'un monde invisible, répondant au prince qui les interroge.... Oh! grâce!... grâce!... cela m'épouvante!...
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