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Mis à jour: 9 mai 2025


Ha! croyez seulement, & lors le Roy des Cieux Levera le bandeau qui vous couvre les yeux, Et vous descouvrira ces clartez nompareilles, Dont on ne sçauroit trop admirer les merveilles, Servez vous aujourd'huy du flambeau de la foy. Ou s'il vous esblouit, du moins escoutez moy: Mais examinez bien le poids de mes paroles, Dites moy quels effects produisent vos idoles? Qu'ont elles icy bas jamais executé, Qui marque leur puissance, ou leur divinité? Pensez vous que des Dieux de bois, d'or ou de pierre, Et dont l'estre est borné dans l'ombre qui l'enserre, Des Dieux qui ne sont rien que corps inanimez, Que la main d'un mortel & le fer ont formez, Ayent pu d'une parolle en miracles feconde, Créer l'homme, le Ciel, l'air, & la terre & l'onde, Regler les elemens, semer d'astres les Cieux, Faire tant de beautez qui brillent

Nous nous trouvasmes un jour bien empeschez dans des grands bourbiers, & des profondes fanges & marests, joignant un petit lac, il nous fallut marcher avec des peines nompareilles, & si si subtilement & legerement, que nous pensions

En chacune des Cabanes de la pesche, il y a ordinairement un Predicateur de poisson, qui a accoustumé de faire un sermon aux poissons, s'ils sont habiles gens ils sont fort recherchez, pour ce qu'ils croyent les exhortations d'un habile homme ont un grand pouvoir d'attirer les poissons dans leurs rets. Celuy que nous avions s'estimoit un des premiers, aussi le faisoit-il beau voir se demener, & de la langue & des mains quant il preschoit, comme il faisoit tous les jours apres soupper, apres avoir imposé silence, & faict ranger un chacun en sa place, couché de leur long sur le dos, & le ventre en haut comme luy. Son Theme estoit: Que les Hurons ne bruslent point les os des poissons, puis il poursuyvoit en suitte avec des affections nompareilles, exhortoit les poisson, les convioit, les invitoit & les supplioit de venir, de se laisser prendre, & d'avoir bon courage, & de ne rien craindre, puis que d'estoit pour servir

Son thème estoit; que les Hurons ne bruslent point les os des poissons & qu'on ne leur faict aucun mauvais traitement, puis en suitte avec des affections nompareilles exhortoit les poissons, les conjuroit, les invitoit & les supplioit de venir, de se laisser prendre & d'avoir bon courage, & de ne rien craindre, puis que c'estoit pour servir

Dans les forests, il se voit quantité de Cedres, nommez Asquata, de tres-beaux & gros Chesnes, des Fouteaux, Herables, Merisiers ou Guyniers, & un grand nombre d'autres bois de mesme espece des nostres, & d'autres qui nous sont incogneus, entre lesquels ils ont un certain arbre nommé Atti, duquel ils reçoivent & tirent des commoditez nompareilles.

Nous nous trouvasmes un jour bien empesché dans des grands bourbiers, & profondes fanges, approchant d'un lac, il nous fallut passer avec des peines nompareilles, & si subtilement & legerement du pied, que nous pensions

Nous rencontrions aussi parfois de furieux bourbiers, desquels nous recevions de grandes incommoditez & des peines nompareilles d'en pouvoir sortir; que les jambes toutes embourbées, comme il arriva

Ils ont aussi entr'eux des obsedez ou malades de maladies de furies, ausquels il prendra bien envie de faire dancer les femmes & filles toutes ensemble, avec l'ordonnance du Loki, mais ce n'est pas tout, car luy & le Medecin, accompagnez de quelqu'autre, feront des singeries & des conjurations, & se tourneront tant qu'ils demeureront le plus souvent hors d'eux-mesmes: puis il paroist tout furieux, les yeux estincelans, & effroyables, quelques-fois debout, & quelques-fois assis, ainsi que la fantasie luy en prend: aussi-tost une quinte luy reprendra, & fera tout du pis Qu'il pourra, puis il se couche, il s'endors quelque espace de temps, & se resveillant en sur-sautant r'entre dans ses premieres furies, renverse, & brise & jette tout ce qu'il rencontre en son chemin, avec du bruit, du dommage, & des insolences nompareilles: cette furie se passe par le sommeil qui luy reprend.

Non je ne mourray pas mon Dieu ma préservé Et de trop de périls et par trop de merveilles Non je ne mourray pas mon Dieu ma réservé Pour vivre et publier ses grandeurs nompareilles . Comme un maistre puissant mon Dieu ma chastié Dune juste rigueur mon offense est suivie Mais me voiant soumis, contrit, humilié Comme un père

Ce n'est riens qui ne puist estre, On voit de plus grans merveilles, Que de baster aux corneilles Les mariz, et l'erbe pestre. Car de jouer tours de maistre, Femmes sont les nompareilles. Ce n'est riens, etc. On voit, etc. Tant aux huis, comme aux fenestres, En champs, jardins, ou en trailles, Par tout ont yeulx et oreilles, Soit

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simoniaque

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