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Mis à jour: 5 juillet 2025
Le paysage morne où s'élève la prison de Noirlieu est rendu non par ses formes mais par le fleuve pâle qui le traverse, sa plaine crayeuse, son étendue blafarde, la lumière écliptique qui le glace.
Puis des soutaniers sans nombre: les Gaume, les Gratry, les Pereyve, les Chocarne, les Martin, les Bautain, les Huguet, les Noirlieu, les Doucet, les Perdrau, les Crampon, tout un fourmillement noir sur la rhétorique décomposée des siècles défunts. On peut en empiler cinquante mille de ces cerveaux, et faire l'addition. Le total ne fournira pas l'habillement complet d'une pauvre idée.
Telle était l'illusion de la misérable femme qu'on la voyait, avec les doigts gourds d'une main presque paralysée, décrire des cercles maladroits dans le vide puant de la Cordonnerie, pour amener la chute, sur elle, des blanches fleurs des cerisiers du val d'Ajol. Il y a des années, je passais quelques semaines dans un château des environs de Noirlieu.
Au bout d'un temps assez long, dans une froide éclaircie, apparut Noirlieu avec sa double promenade sur les anciens remparts, son cimetière vert dévalant jusqu'au bas de la colline, son rond de danse aux ormes étêtés, le grand mur de sa Maison de détention pour les femmes, flanqué
Et la promenade continua, chassant des remparts avec la tristesse inexprimable de son bruit mort, les promeneurs de Noirlieu.
Criminaliste de l'école américaine, disciple d'Auburn, le directeur de Noirlieu croyait
À Noirlieu, était-ce une pure légende provinciale? les gens de la ville racontaient aux étrangers que le silence continu donnait aux femmes de la prison des maladies de la gorge et du larynx, et que, pour combattre ces maladies, on forçait les détenues
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