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Mis à jour: 21 juillet 2025
La désolée Noémi tira de son sein un médaillon qui contenait une boucle de cheveux. De ses doigts crispés, elle la sépara en deux et en tendit la moitié
J'acceptai l'invitation amicale de Noémi D *. Je la revis aussi en 1815. Hélas! toutes les espérances de bonheur de la tendre Noémi s'étaient brisées
Cependant la vie, jusqu'alors très mondaine, dissipée et tapageuse de la belle Mme Noémi Vaucamp, s'était sensiblement modifiée.
Je reçus encore une nouvelle lettre de Noémi: elle connaissait mon amitié; aussi ne craignait-elle pas de me demander un service intime. Elle me priait d'aider une de ses cousines dans la vente de ses diamans et de son argenterie, afin de lui en faire passer le produit devenu nécessaire
M. de Valmier, visiblement agité après la lecture de la lettre qu'il avait reçue, ne tenait pas en place et n'eut de repos que lorsque la voiture eut emmené Mme de Valmier et Noémi; elles s'en étaient aperçues et en voiture, Noémi dit a sa mère: «Maman, papa prépare notre surprise. Je le crois aussi. NO
On sortit de table, et Noémi se mit au piano sur la demande de son père, mais elle était visiblement distraite. A huit heures, M. de Valmier se leva en disant: «Veux-tu venir chez nos voisins, Juliette? Volontiers; viens, Noémi.» On alla vers le pavillon des nouveaux locataires. M. de Valmier sonna et... le père Michel vint ouvrir. NO
Moi pas, dit Noémi: ça me gênerait pour me faire embrasser par maman.» Constance et Herminie éclatèrent de rire. «Elle t'embrasse donc souvent, ta mère! s'écrièrent-elles. Certainement, dit Noémi étonnée; les vôtres n'en font-elles pas autant?» Constance secoua la tête. «Je vois maman deux ou trois fois par semaine, dit-elle. .... Bonjour, maman. Bonjour, petite.
Je pris congé de Noémi, et suivis long-temps d'un œil attendri l'esquif qui l'emportait au loin sur les vagues d'une mer moins agitée que ma vie. J'assurai ma place, et
Ou a vu que c'était pour maintenir la tradition humaniste et pour défendre les théories de l'école de Mendelssohn que Gottlober avait fondé en 1876 sa revue «Haboker Or». Cette revue avait groupé autour d'elle les derniers successeurs de l'humanisme allemand. Braudès y a publié son roman «La Loi et la Vie». Nous y rencontrons également les derniers représentants des «Melitzim», comme Wechsler (Iseh Noémi) qui s'ingéniait
Noémi m'accompagna
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