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Mis à jour: 11 juin 2025


Ou a vu que c'était pour maintenir la tradition humaniste et pour défendre les théories de l'école de Mendelssohn que Gottlober avait fondé en 1876 sa revue «Haboker Or». Cette revue avait groupé autour d'elle les derniers successeurs de l'humanisme allemand. Braudès y a publié son roman «La Loi et la Vie». Nous y rencontrons également les derniers représentants des «Melitzim», comme Wechsler (Iseh Noémi) qui s'ingéniait

Les lettrés y affluèrent de toutes parts et surtout de la Galicie. S. Pinsker et I. Stern sont les représentants de la science du judaïsme en Russie, auxquels le caraïte Firkovitz apporte un concours précieux. Eichenbaum, Gottlober et d'autres se font remarquer comme poètes et comme écrivains.

En général, Gottlober manque de chaleur poétique. Dans la plupart de ses poésies, son style pèche par la prolixité et le bavardage. Il a beaucoup traduit en hébreu. Sa prose est excellente. Ses satires sont souvent spirituelles. Son histoire en vers de la poésie hébraïque, parue dans le troisième volume de ses poésies, est inférieure

Gottlober a personnifié plus que tout autre le type du Mechaber vagabond qui, pour gagner sa vie, est obligé d'imposer lui-même ses ouvrages aux personnes aisées et de les colporter de porte en porte. Il excella également dans la poésie et dans la prose. Son poème le plus connu est «Le pays des miracles» qui, pour le sujet et pour le style, se réclame de Lebensohn père.

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